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https://doi.org/10.11588/diglit.28093#0153
Ihebite*
145
D E L MEDESIMO
LXII.
à Berlin ce 2 de Maî tySo*
SÎRE
J ai l’ honneur d' envoyer à V. M. donze
boutargues que j’ai reçues de Venise: et
je prends la iiberté d’ envoyer en méme
îems à V. M. un écrit que je ne voudrois
pas qu’eile jugeat digne d’envelopper ces
mêmes boutargues. C’est la lettre qui est
devant le César de m. de Volîaire refon-
due et telle que je voudrois qu’on la réim-
primat à la première édition de ses œu-
vres. II y est parlé du théatre français,
et si V. M. qui mérite une des prexnières
places sur le Parnasse de cette nation trou-
voit que ce que je dis de leur théatre est
juste, couvert de son égide, je ne crain-
drai aucune critique, V abbé Desfontaines
revint - il en yie. »
C’ est peut-être téméraire à moi, Sire,
To; XV. K d’oser
145
D E L MEDESIMO
LXII.
à Berlin ce 2 de Maî tySo*
SÎRE
J ai l’ honneur d' envoyer à V. M. donze
boutargues que j’ai reçues de Venise: et
je prends la iiberté d’ envoyer en méme
îems à V. M. un écrit que je ne voudrois
pas qu’eile jugeat digne d’envelopper ces
mêmes boutargues. C’est la lettre qui est
devant le César de m. de Volîaire refon-
due et telle que je voudrois qu’on la réim-
primat à la première édition de ses œu-
vres. II y est parlé du théatre français,
et si V. M. qui mérite une des prexnières
places sur le Parnasse de cette nation trou-
voit que ce que je dis de leur théatre est
juste, couvert de son égide, je ne crain-
drai aucune critique, V abbé Desfontaines
revint - il en yie. »
C’ est peut-être téméraire à moi, Sire,
To; XV. K d’oser