L E T T E ïl E
s5o
D E L R E .
C X X X I.
à Berlin ce 14 Avsil 1765.
e vous remercie de la part que vous pre-
nez à la paix que nous avons conclue »
Faiîes aussi bien la vôtre aveo vos pou-
mons, cju© nous avons fait la nôtre avec
les Autrichiens. Je l’apprendrai avec plai-
sir. J’aimerois mieux que vous fussiez à
Pise pour autre chose, que pour j soigner
vôtre santé, comme dit la chanson du Pa»
pe . Yous obligera - t - elle de renoncer à
l’AIlemagne, et aux climats hyperboréensP
Quoîqu’ il en soît, je vous souhaite beau*
coup de bonheur.
Les faits arrivés dans cette guerre ne
méritent guère la peine de passer à ia po»
sterité. Je ne me crois ni assez bon gé-
néral pour qu’ on êcriye mon histoire, nî
assez bon historien pour publier des ou»
vrages. Je n’ ai eu que trop de regret à
voir paroitre des piéces que je n’avois tra-
vaillëes
s5o
D E L R E .
C X X X I.
à Berlin ce 14 Avsil 1765.
e vous remercie de la part que vous pre-
nez à la paix que nous avons conclue »
Faiîes aussi bien la vôtre aveo vos pou-
mons, cju© nous avons fait la nôtre avec
les Autrichiens. Je l’apprendrai avec plai-
sir. J’aimerois mieux que vous fussiez à
Pise pour autre chose, que pour j soigner
vôtre santé, comme dit la chanson du Pa»
pe . Yous obligera - t - elle de renoncer à
l’AIlemagne, et aux climats hyperboréensP
Quoîqu’ il en soît, je vous souhaite beau*
coup de bonheur.
Les faits arrivés dans cette guerre ne
méritent guère la peine de passer à ia po»
sterité. Je ne me crois ni assez bon gé-
néral pour qu’ on êcriye mon histoire, nî
assez bon historien pour publier des ou»
vrages. Je n’ ai eu que trop de regret à
voir paroitre des piéces que je n’avois tra-
vaillëes