3L E T T E R E
2,6 4
D E L C O N T E
ALGAROTT I
V.
à Bouïogne ce 5o de Janvier 1^58.
MONSEIGNEUR.
Il faudroit, Monseigneur, que je fusse
insensible à la gloire de la Prusse, si je ne
me réjoüissois pas infîniment du rétablis-
sement de îa santé de V. A. R. J’ en ai
eu des nouvelles presque tous les couriers,
et je viens enfin de recevoir celle que
je soühaitois il y a longtems. II auroit été
trop triste, Monseigneur, que parmi tant
de réjoüissances et de triomphes nous eus-
sions dû être allarmès pour celui qui y a
tant contribué, îandis que sa santé lui a
permis d’agir. Puisse-t-elîe, Monseigneur?
être afsermie à jamais, et puissions nous
voir dérechef Y. A. R. à la tête de vos
armées victorieuses. Je suis etc.
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D E L C O N T E
ALGAROTT I
V.
à Bouïogne ce 5o de Janvier 1^58.
MONSEIGNEUR.
Il faudroit, Monseigneur, que je fusse
insensible à la gloire de la Prusse, si je ne
me réjoüissois pas infîniment du rétablis-
sement de îa santé de V. A. R. J’ en ai
eu des nouvelles presque tous les couriers,
et je viens enfin de recevoir celle que
je soühaitois il y a longtems. II auroit été
trop triste, Monseigneur, que parmi tant
de réjoüissances et de triomphes nous eus-
sions dû être allarmès pour celui qui y a
tant contribué, îandis que sa santé lui a
permis d’agir. Puisse-t-elîe, Monseigneur?
être afsermie à jamais, et puissions nous
voir dérechef Y. A. R. à la tête de vos
armées victorieuses. Je suis etc.