3^5 L S T T E It si
r Espagne va lui ouvrir un champ digne
de lui :
în publica cotnmoda peccem
Sî longo sermone morer tua tempora.
Ces vers ont étê souvent cités, mais rare-
ment ils ont été mieux expiiqués. Que
y. e. se souvienne quelquefois d’un hom*
me qul F admire comme un grand Mini-
stre, et l’aime comme I’ homme du mon-
de le plus aimable. ai l’ honneur etc.
P. S. Allant l’autre jour chez in. Brun,
je vis qu’ on empaquetoit des vues de Ve-
nise dans le palais de V. E. II semble qu”
elle ne veuille pas perdre de vue une viL
le, où elle sait bien que son nom ne sera
jamais oublié. Je me souvins que deux
sujets vènitiens que V. E. avoit vus chez-
moi ne lui avoient pas déplu, et ai pris
une liberté que V. E. voudra bien me par-
donner, de les envoyer à m. Courneur afin
qu’ il les Et partir pour Madrid avec les
vues de Venise . Ils peuvent au moins ra-
peller quelquefois à V. E. le vénitien qui
lui est le plus attaché par les sentimens
de l’amitié, de F admiration et d’ ua pro~
fond respect.
r Espagne va lui ouvrir un champ digne
de lui :
în publica cotnmoda peccem
Sî longo sermone morer tua tempora.
Ces vers ont étê souvent cités, mais rare-
ment ils ont été mieux expiiqués. Que
y. e. se souvienne quelquefois d’un hom*
me qul F admire comme un grand Mini-
stre, et l’aime comme I’ homme du mon-
de le plus aimable. ai l’ honneur etc.
P. S. Allant l’autre jour chez in. Brun,
je vis qu’ on empaquetoit des vues de Ve-
nise dans le palais de V. E. II semble qu”
elle ne veuille pas perdre de vue une viL
le, où elle sait bien que son nom ne sera
jamais oublié. Je me souvins que deux
sujets vènitiens que V. E. avoit vus chez-
moi ne lui avoient pas déplu, et ai pris
une liberté que V. E. voudra bien me par-
donner, de les envoyer à m. Courneur afin
qu’ il les Et partir pour Madrid avec les
vues de Venise . Ils peuvent au moins ra-
peller quelquefois à V. E. le vénitien qui
lui est le plus attaché par les sentimens
de l’amitié, de F admiration et d’ ua pro~
fond respect.