z38 L e t t e ii r
XXVIII.
Berli/i ce 5. septe/nbre 1764*
J ai teçu, mon cherami, votre lettre du
14. aoùt, et j’ ai été charmé d’apprendre
de vos nouvelles, malgré ce que vous me
dites que vous êtes à la campagne pour des
raisons de santé. Pour moi je suis revenu
de France entierement rétabli, et me por-
tant aussi bien que j’aye jainais fait. Dieu
yeuille que cela continue pendant l’ hiver
où il me semble que nous entrons de bonw
n.e heure.
Yous faites bien de l’lionneur à mes let-
tres de les lire , et de les commenter :
avez-vous l’ édition qu’ on en a faite à Pa-
ris? Il-y-a quelques lettres de plus que dans
celle de Walther, qui a abandonné mes
ouvrages pour imprimer les libelles qu’ on
faisoit contre moi.
-Je ne me souviens plus gueres de Yotre
comte Ronealli, ni de ses ouvrages . J’ eu
voudrois une note détaillée pour pouvoir
le proposer à l’Académie.
L ah'*
XXVIII.
Berli/i ce 5. septe/nbre 1764*
J ai teçu, mon cherami, votre lettre du
14. aoùt, et j’ ai été charmé d’apprendre
de vos nouvelles, malgré ce que vous me
dites que vous êtes à la campagne pour des
raisons de santé. Pour moi je suis revenu
de France entierement rétabli, et me por-
tant aussi bien que j’aye jainais fait. Dieu
yeuille que cela continue pendant l’ hiver
où il me semble que nous entrons de bonw
n.e heure.
Yous faites bien de l’lionneur à mes let-
tres de les lire , et de les commenter :
avez-vous l’ édition qu’ on en a faite à Pa-
ris? Il-y-a quelques lettres de plus que dans
celle de Walther, qui a abandonné mes
ouvrages pour imprimer les libelles qu’ on
faisoit contre moi.
-Je ne me souviens plus gueres de Yotre
comte Ronealli, ni de ses ouvrages . J’ eu
voudrois une note détaillée pour pouvoir
le proposer à l’Académie.
L ah'*