ÔqO I» E T T E F, E
rempli le condition qu’on avoit exigée de
nioi, en envoyant une espece de ceï-tifi-
oat pour mr. Zanotti, que mr. Euler et
3noi avions signé . On yient de me répon-
der qu’il falloit trois signatures , et qu’en-
suite l'affaire passeroit sans difficulté. Gom-
me je n’ai pas un troisieme membre de
la S. R. de Londres sous la main , je crois,
uronsieur -, que vous qui en ètes pourez
terminer 1’ asfaire , en écrivant deux mots
à mr. le D. Birch , Sécrétaire de Ia S. B.,
et y joignant un papier séparé où vous at,
testerez que le méx-ité de mr. Zanotti vous
étant parfaitement connu , vous le crojez
trés digne d’ être aggrégé , etc.
M.r. de Maupertuis est toujours à Bâle •
II a vu la mort de près au commencement
de 1’ année ; mais il s’ est remis assez bien
depuis : et j’ ai une longue lettre de lui
du 5 de ce mois, où il paroit de bonne
humeur. Si nous îe revoyons je cornpte
que ce ne sera qu’ après la paix . II y a
quelque tems que Yoltaire, à propos de
x ien , donna charge à quelqu’ un à qui il
écrivoit, de venir chez moi ; et de me
faire des complimens de sa part f On dit
rempli le condition qu’on avoit exigée de
nioi, en envoyant une espece de ceï-tifi-
oat pour mr. Zanotti, que mr. Euler et
3noi avions signé . On yient de me répon-
der qu’il falloit trois signatures , et qu’en-
suite l'affaire passeroit sans difficulté. Gom-
me je n’ai pas un troisieme membre de
la S. R. de Londres sous la main , je crois,
uronsieur -, que vous qui en ètes pourez
terminer 1’ asfaire , en écrivant deux mots
à mr. le D. Birch , Sécrétaire de Ia S. B.,
et y joignant un papier séparé où vous at,
testerez que le méx-ité de mr. Zanotti vous
étant parfaitement connu , vous le crojez
trés digne d’ être aggrégé , etc.
M.r. de Maupertuis est toujours à Bâle •
II a vu la mort de près au commencement
de 1’ année ; mais il s’ est remis assez bien
depuis : et j’ ai une longue lettre de lui
du 5 de ce mois, où il paroit de bonne
humeur. Si nous îe revoyons je cornpte
que ce ne sera qu’ après la paix . II y a
quelque tems que Yoltaire, à propos de
x ien , donna charge à quelqu’ un à qui il
écrivoit, de venir chez moi ; et de me
faire des complimens de sa part f On dit