I sr E D I T E .
355
D E L C O N T E
ALGAROTTI
XX Y.
à Boulogne ïe îS Novembre 1760.
que les malheurs se suivent de
bien près ! II ne snfilsoit donc pas que le
Prince héréditaire eut perdu la baltsille de
Pihinberg, il a sallu encore que peu de
jours après le Pv.oi d’Angleterre soit mort,
et que le x du mois présent le Pioi ait
perdu une battaille en Saxe. Est-il pos-
sible que la fortune ait tourné le doâ
a ce Pléros, qui par ses vertus , et par son
admirable conduite inerite tant de l’avoir
favorable?
Au milieu de tant de malheurs je prens
quelque consolation en lisant deux de vos
lettres , monsieur , que j’ ai reçues presqu’
en même terns, quoique de date bien dif-
sérente .
To: XVI. Z Je
355
D E L C O N T E
ALGAROTTI
XX Y.
à Boulogne ïe îS Novembre 1760.
que les malheurs se suivent de
bien près ! II ne snfilsoit donc pas que le
Prince héréditaire eut perdu la baltsille de
Pihinberg, il a sallu encore que peu de
jours après le Pv.oi d’Angleterre soit mort,
et que le x du mois présent le Pioi ait
perdu une battaille en Saxe. Est-il pos-
sible que la fortune ait tourné le doâ
a ce Pléros, qui par ses vertus , et par son
admirable conduite inerite tant de l’avoir
favorable?
Au milieu de tant de malheurs je prens
quelque consolation en lisant deux de vos
lettres , monsieur , que j’ ai reçues presqu’
en même terns, quoique de date bien dif-
sérente .
To: XVI. Z Je