L E T T E
îl S
46
X> I M A B A M A
D U' B O C C A G E
XXIX.
à Paris ce 29 de Juin 1760.
J ai eu 1’ honneur de voiis mander, moiv
sieur, que toute vôtre afsaire étoit faite
■Çour l’Encyclopédie, et que m. de Versu-
re étoit chargé de vous i’envoyer. Je vous
remerciois en méme terns des lettres ?nili-
taires, et vous envoyois ce qu’en avoit dit
le journal étranger. Js ai encore de meil-
leures choses à lui donner à discuter, du
moins pour la multitude. Ges lettres mos-
covites que vous zne fites la grace de m’
envoyer par vôtre aimable ambassadeur m’
on fait un grand plaisir; le prince Gallit-
zin rne les a bien vite demandées ; je les
lui ai données à lire et à l’abbé Barthele-
iny qui les a vouluës, et au baron.de Sle-
kin que vous avez dû voir avec la Mar-
grave : je n’ en ai pas pour les deman»
deurs; je yeux pourtaut avec vôtre permis-,
sion
îl S
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X> I M A B A M A
D U' B O C C A G E
XXIX.
à Paris ce 29 de Juin 1760.
J ai eu 1’ honneur de voiis mander, moiv
sieur, que toute vôtre afsaire étoit faite
■Çour l’Encyclopédie, et que m. de Versu-
re étoit chargé de vous i’envoyer. Je vous
remerciois en méme terns des lettres ?nili-
taires, et vous envoyois ce qu’en avoit dit
le journal étranger. Js ai encore de meil-
leures choses à lui donner à discuter, du
moins pour la multitude. Ges lettres mos-
covites que vous zne fites la grace de m’
envoyer par vôtre aimable ambassadeur m’
on fait un grand plaisir; le prince Gallit-
zin rne les a bien vite demandées ; je les
lui ai données à lire et à l’abbé Barthele-
iny qui les a vouluës, et au baron.de Sle-
kin que vous avez dû voir avec la Mar-
grave : je n’ en ai pas pour les deman»
deurs; je yeux pourtaut avec vôtre permis-,
sion