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DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.22547#0124
froid & de soif avec tous les tresors de
l’univers: ainsi donc n’ayant de be
soins , que ceux aux queis mon etat or-
dinaire peut susTire , l’orsqu’il me sür-
vientun bonheur sur-abondant, nevou-
les vous pas que j’en probte. Sackes,
censeur cinique , que chaque fois que
je gagne a la loterie , je me procure
plus de plailir en un jour que vous n’en
aves dans toute votre vie. Sans deran
ger mes affaires, j’invite mes connois-
sances qui viennerit partager avec mol
cette bonne fortune. Oui , au milieu
d’tm fessin, entourre de bons amis, j’e
prouve une satisfadtion voluptueuse, que
vous ne connutes jamais. Le lende
rimain je retourne a mon traindevie,
je joue de nouveau a la loterie une par-
tie de.l’argent qtdelle meme m’a donne
chacun fait de voeux pour que je gagne
toujours. Notre voiiin Pierre prend en
eore