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tain tems; celui-ci gagne toujours aux
jeux qu’il joue fort mal & cet autre plus
habile que lui, y perd constainment;
nous avons vü quel excellent parti les Ro-
|mains s^avoient tirer de toutes ces specula-
;tionsj quisgait, si, comme l’on peutfai
jre des observations sür les imprelTions que
jfont sür notre ame, je veux dire surno-
tre joye, sür nos pasilons, ainsi quesuij
notre sante, la diversite des mets, des;
tems, des lieux, des meteores, des sai-j
Tons, de l’air &c. qui sipait, dis-je
si l’on ne pourroit pas parvenir a predire
que la mauvaise humeur, par exemplei
jUnmal-aise involontaire, certains trou-
^bles, des agitations, des remords, des
inquietudes & mille autres choses desa-
greables sont toujours des avant-coureiin,
de quelque malheur? qui spit si l’etudfc
^es influences ne nous aideroit pas dam
^ces recherches ? qui sfaic enfin si un sieclt
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