LA GÉOGRAPHIE DE L'EGYPTE.
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GNCON 6TXA1HOYT KA.TA.
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cmomt
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vasi
aispSsp/i venry/aEi enayasi vtjsi
Nicyx
m6n6nca
lixei
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vnsxvi
Be
sv tiovvov TaeipSep^i vsnuyasi
ccym-i
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gh tioy"oy TxeirJtexi ngkc<))agi
asiêopirov vom
eu
g m
■srvouS
otipiarx
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nNoyA
MGN
ii>>gicnxoy tgkhi -a.g i^GlBOpnOY
vtzx si
pijvi ap;v
rl.\K GipilMl \MHM
Cette transcription grecque de mots coptes ne laisse aucun
doute sur la difficulté que les Grecs avaient à prononcer l'égyp-
tien, et sur les moyens qu'ils prenaient pour parvenir à
rendre aussi exactement que possible les articulations propres
à la langue égyptienne. Nous n'avons malheureusement, ici,
que deux de ces articulations, c» et x. : la première est rendue
par cz et la seconde par Iz. Mais, me dira-t-on, cette transcription
est la preuve que le x. se prononçait comme un z, puisque les
Grecs écrivent tz pour la rendre exactement. Te répondrai que
ce n'est pas une preuve : ces deux groupes sont des indications
pour la prononciation. De même que cz=qp avec lequel il n'a
aucun rapport, de mêmete = ^c avec lequel il n'a également
aucun rapport. Les Grecs, je le répète, n'avaient pas de lettres
pour rendre sch ou cp, dj ou .x. Que si l'on voulait absolument
que la lettre X. se prononçât z, je ferais observer que les Grecs
avaient cette lettre, que. par conséquent, point n'était besoin
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J)GM HfXM GNnNOY'l" Gt-iqjorn
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