les yeux pour ne pas voir cette victime intéressante.
Corésus, au désespoir, se frappe; au dessus de sa tête
planent l’Amour et la Vengeance qui se sont partagé son
existence et ont causé tous ses maux.
Il suffira de dire, pour l’éloge de ce tableau, qu’il
est l’ouvrage sur lequel M. Fragonard fut agréé à l’an-
cienne Académie.
Les figures sont de grandeur naturelle : elles sont bien
groupées ; l’effet général est harmonieux ; la touche facile.
Corésus, au désespoir, se frappe; au dessus de sa tête
planent l’Amour et la Vengeance qui se sont partagé son
existence et ont causé tous ses maux.
Il suffira de dire, pour l’éloge de ce tableau, qu’il
est l’ouvrage sur lequel M. Fragonard fut agréé à l’an-
cienne Académie.
Les figures sont de grandeur naturelle : elles sont bien
groupées ; l’effet général est harmonieux ; la touche facile.