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« habits de ces derniers,de l’un et l’autre sexe, étant adhé-
h rens aux chairs, ne sont pas susceptibles de ces tons
pittoresques des premiers, etc. »
En laissant toujours la question indécise, on peut juger,
d’après ce qui vient d’être dit, que la plupart des grandes
beautés qu’on admire dans l’ouvrage de M. Moitte, ne s’y
trouveraient pas, s’il eût donné le costume français aux
personnages historiques de son bas-relief.
« habits de ces derniers,de l’un et l’autre sexe, étant adhé-
h rens aux chairs, ne sont pas susceptibles de ces tons
pittoresques des premiers, etc. »
En laissant toujours la question indécise, on peut juger,
d’après ce qui vient d’être dit, que la plupart des grandes
beautés qu’on admire dans l’ouvrage de M. Moitte, ne s’y
trouveraient pas, s’il eût donné le costume français aux
personnages historiques de son bas-relief.