XXII
des Fées. H laudroit auparavant
prouver qu'on avoit perdu ces idées,
ce qui eh taux, au contraire on peut
dire que ces deux Poëtes en pariè-
rent pour luivre le lenti ment com-
mun. Outre cela le Talïe , & l'A-
rioAe ne Rirent pas les premiers à
en parler en Italie, car pluAeurs en
avoient déjà traité , comme nous
pouvons le voir dans le
de dans le
/?cr , & dans d'autres plus
anciens que ces deux Poëtes.
Mais, s'il m'eA permis, je dirai que
l'Auteur de cette Lettre luit la cou-
tume de la Nation en cenlurant ces
deux Poëtes, peut - être par jaloulie
de les voir dans une réputation R
haute, qu'ils ne perdirent, ni per-
dront jamais.
Cependant quoiqu'ils tachent de
les cenlurer il leur arrivera de mê-<
me qu'au P. Bouhours à qui l'Or/?,
& montrèrent qu'il cen-
luroit
des Fées. H laudroit auparavant
prouver qu'on avoit perdu ces idées,
ce qui eh taux, au contraire on peut
dire que ces deux Poëtes en pariè-
rent pour luivre le lenti ment com-
mun. Outre cela le Talïe , & l'A-
rioAe ne Rirent pas les premiers à
en parler en Italie, car pluAeurs en
avoient déjà traité , comme nous
pouvons le voir dans le
de dans le
/?cr , & dans d'autres plus
anciens que ces deux Poëtes.
Mais, s'il m'eA permis, je dirai que
l'Auteur de cette Lettre luit la cou-
tume de la Nation en cenlurant ces
deux Poëtes, peut - être par jaloulie
de les voir dans une réputation R
haute, qu'ils ne perdirent, ni per-
dront jamais.
Cependant quoiqu'ils tachent de
les cenlurer il leur arrivera de mê-<
me qu'au P. Bouhours à qui l'Or/?,
& montrèrent qu'il cen-
luroit