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https://doi.org/10.11588/diglit.19211#0038
Nous la devons pareillement à nos amis de France.
L'administration des Musées nationaux a laissé sortir des
collections du Louvre et de Cluny tous les monuments
d'art byzantin que nous lui avons demandés. L'adminis-
tration de la Bibliothèque nationale, aussi bien pour les
manuscrits qui y sont conservés — et tout le monde
sait qu'il y a là des chefs-d'œuvre — que pour les
richesses du Cabinet des médailles, a fait preuve à notre
égard d'une semblable libéralité. Nous ne saurions re-
mercier assez la Chambre de commerce de Lyon, qui
nous a prêté de belles étoffes de son admirable Musée
des tissus, et le chapitre de la cathédrale de Sens, qui
nous a offert les richesses admirables de son trésor, et
tous ceux en France qui, de près ou de loin, ont apporté
quelque chose — ou beaucoup — pour aider au succès
de l'Exposition.
Je me reprocherais de ne point remercier d'autres
personnes encore. On m'a fait le grand honneur de
m'offrir la présidence du Comité d'organisation de l'Ex-
position d'art byzantin. Or on sait quel est le rôle d'un
président qui se respecte : c'est essentiellement de laisser
travailler ses collaborateurs. Je tiens à remercier mes
collaborateurs d'avoir travaillé avec un zèle et un dévoue-
ment infatigables. Si cette exposition a pu s'organiser,
elle le doit, pour la part principale, à la Conservation du
Musée des arts décoratifs, qui lui donne l'hospitalité, à
MM. Salles et Duthuit, qui n'ont épargné pour son
succès ni leur temps, ni leur peine. Elle le doit aussi à
notre ami M. Royall Tyler, dont l'intervention et l'in-
fluence ont aplani bien des difficultés, qui sans lui eussent
été insurmontables, et procuré des concours qu'à peine
nous osions espérer. Elle le doit à bien d'autres encore,
que je m'excuse de ne pouvoir tous nommer ici. A tous
s'adresse notre reconnaissance, et pour tous, j'en suis
certain, le succès de l'Exposition pour laquelle ils ont
si bien travaillé sera, comme pour moi, la meilleure des
récompenses.
L'administration des Musées nationaux a laissé sortir des
collections du Louvre et de Cluny tous les monuments
d'art byzantin que nous lui avons demandés. L'adminis-
tration de la Bibliothèque nationale, aussi bien pour les
manuscrits qui y sont conservés — et tout le monde
sait qu'il y a là des chefs-d'œuvre — que pour les
richesses du Cabinet des médailles, a fait preuve à notre
égard d'une semblable libéralité. Nous ne saurions re-
mercier assez la Chambre de commerce de Lyon, qui
nous a prêté de belles étoffes de son admirable Musée
des tissus, et le chapitre de la cathédrale de Sens, qui
nous a offert les richesses admirables de son trésor, et
tous ceux en France qui, de près ou de loin, ont apporté
quelque chose — ou beaucoup — pour aider au succès
de l'Exposition.
Je me reprocherais de ne point remercier d'autres
personnes encore. On m'a fait le grand honneur de
m'offrir la présidence du Comité d'organisation de l'Ex-
position d'art byzantin. Or on sait quel est le rôle d'un
président qui se respecte : c'est essentiellement de laisser
travailler ses collaborateurs. Je tiens à remercier mes
collaborateurs d'avoir travaillé avec un zèle et un dévoue-
ment infatigables. Si cette exposition a pu s'organiser,
elle le doit, pour la part principale, à la Conservation du
Musée des arts décoratifs, qui lui donne l'hospitalité, à
MM. Salles et Duthuit, qui n'ont épargné pour son
succès ni leur temps, ni leur peine. Elle le doit aussi à
notre ami M. Royall Tyler, dont l'intervention et l'in-
fluence ont aplani bien des difficultés, qui sans lui eussent
été insurmontables, et procuré des concours qu'à peine
nous osions espérer. Elle le doit à bien d'autres encore,
que je m'excuse de ne pouvoir tous nommer ici. A tous
s'adresse notre reconnaissance, et pour tous, j'en suis
certain, le succès de l'Exposition pour laquelle ils ont
si bien travaillé sera, comme pour moi, la meilleure des
récompenses.