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L'ART APPL!QUÉ
AU SALON D'AUTOMNE
YlÉLictTONS avant tout les organisateurs du
i. Salon d'automne d'avoir, enfin ! mis
l'art décoratif sur un pied d'égalité véritable
avec les arts dits ((majeurs)), au iieu de ie
reléguer, comme on le fait ailleurs, aux
places de rebut. Ici, les vitrines de céra-
miques, de reliures ou de bijoux sont
éparses dans les salles de peinture. Isolées
les unes des autres et bien en valeur dans
les profondes embrasures des fenêtres ou
les enfoncements
des murs, elles
sont, pour la
plupart, heu-
reusement pla-
cées etbénéhcient
de la diversion re-
posante qu'elles
procurent aux
yeux quelquefois
las de trop de
toiles. Si les en-
sembles décora-
tifs, les ameuble-
ments, sont beau-
coup plus mal
partagés, réduits
qu'ils sont aux
niches par trop
insuffisantes du
pourtour ou à
des recoins sans
lumière, la faute
en est seulement MACQUt.ROx
au local, dont il ne semble pas que l'on
eût pu tirer un meilleur parti.
M. Bellery-Desfontaines, par exemple,
ne doit point être satisfait de la manière
dont il a été contraint de présenter son
exposition. Elle méritait assurément mieux.
C'est la décoration complète d'un escalier
et d'un hall pour l'hôtel d'un médecin. Une
jolie maquette, très poussée ; un grand car-
ton de vitrail; plusieurs châssis de détails
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