ANNALES
398
Seconde Edition. A'Paris, chez Vincent, 176t,
gi\ in gvo. pp. 728. sans l’Introdu&ion & la
Table des Chapitres qui en ont XVI.
La pratique de la vraye Mtdecine, dclai-
r£e par les Sciences preliminaires, (la plus
grande parrie des Mathematiques, la Phy-
iique experimentale, la Chymie, &c.) eil
£tablie sür l’hiltoire d’un li grand nombre
de faits, tant simples que combines, quil
n’est preSqüe pas possible, avec la memoire
m£me la plus cultivee, de lesavoir tous pr6-
sens. Un tableau qui rapproche toutes ces
connoisiances eparses, & les pr£lente avec
nettet£ & precilion, eit sans contredit une
chose tr£s avantageuse pour le gros des M£-
decins, & pour tout le public. Or c’ell ce
dont on eit redevable ä M. Lieutaud, qui
a ralTembl£ dans cet Ouvrage tant de cho-
ses utiles, que c’elt un vrai tresor domelti-
que. Ce Volume est divise en trois Livres,
qui traitent, le premier des Maladies inter-
nes, le second des Maladies externes, & le
troisi^me des Maladies des femmes & des
enfans.
Nö. DXVII. Difconrs Acaäcmiques sür divers fit ■
Jet par M. l’Abbe Millot. A* Lyon, chez les
Freies Dnplain, 1760. in guo. pp. 377. sans le
disconrs
398
Seconde Edition. A'Paris, chez Vincent, 176t,
gi\ in gvo. pp. 728. sans l’Introdu&ion & la
Table des Chapitres qui en ont XVI.
La pratique de la vraye Mtdecine, dclai-
r£e par les Sciences preliminaires, (la plus
grande parrie des Mathematiques, la Phy-
iique experimentale, la Chymie, &c.) eil
£tablie sür l’hiltoire d’un li grand nombre
de faits, tant simples que combines, quil
n’est preSqüe pas possible, avec la memoire
m£me la plus cultivee, de lesavoir tous pr6-
sens. Un tableau qui rapproche toutes ces
connoisiances eparses, & les pr£lente avec
nettet£ & precilion, eit sans contredit une
chose tr£s avantageuse pour le gros des M£-
decins, & pour tout le public. Or c’ell ce
dont on eit redevable ä M. Lieutaud, qui
a ralTembl£ dans cet Ouvrage tant de cho-
ses utiles, que c’elt un vrai tresor domelti-
que. Ce Volume est divise en trois Livres,
qui traitent, le premier des Maladies inter-
nes, le second des Maladies externes, & le
troisi^me des Maladies des femmes & des
enfans.
Nö. DXVII. Difconrs Acaäcmiques sür divers fit ■
Jet par M. l’Abbe Millot. A* Lyon, chez les
Freies Dnplain, 1760. in guo. pp. 377. sans le
disconrs