A N N A L E S
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vers; les autres une jolie epigramme, une
penlee ingenieule, un bon mot. 11 y a
d’ailleurs dans sa theorie des differences qui
la caraöichisent. II n’admet point de cas,
& eil eonsequence il ne reconnoit qu’un ar-
ticle, suivant en ceci Mrs.dOlivet, Girard,
& Duclos. II fait une distinflion tr£s bon*
ne entre les colletlifs partitiss, tels qne la
plüpart , an nombve, une foule, qui exi-
gent le pluriel apres eux, & les non-parti
tifs, tels que 1 'Armee, la Republique> qui
veulent le singulier. Ibid. p. 129.
N°. MCCCCXXXIV. Recueil T Antiquitis Egyp-
tiennes , Etrusques, Grecqnes, Romaines, &
Ganloises, par M le Comte de Caylus. Tome
IV A'Paris, chez Tilliard, 1761. in qto.
A la t£te de ce Volume eit une Prdface
compoße de correstions & d’additions
pour les trois precedens. Le cul de lampe
de la Preface esl une Ourse qui caresse son
petit: Pur quoi M. le Comte de Caylus dit:
„ Quand on est posselTeur d’un pareil mor-
„ ceau, & que Ton fait une Preface, on ne
„ peut s’emp£cher de placer une allusion
„ aussi ’]u(te & aussi convenable ä toute espe-
„ ced’Äuteur.,, Lors qu’on fait de pareilles
reflexions, on est bien sür de son fait, &
l’on
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vers; les autres une jolie epigramme, une
penlee ingenieule, un bon mot. 11 y a
d’ailleurs dans sa theorie des differences qui
la caraöichisent. II n’admet point de cas,
& eil eonsequence il ne reconnoit qu’un ar-
ticle, suivant en ceci Mrs.dOlivet, Girard,
& Duclos. II fait une distinflion tr£s bon*
ne entre les colletlifs partitiss, tels qne la
plüpart , an nombve, une foule, qui exi-
gent le pluriel apres eux, & les non-parti
tifs, tels que 1 'Armee, la Republique> qui
veulent le singulier. Ibid. p. 129.
N°. MCCCCXXXIV. Recueil T Antiquitis Egyp-
tiennes , Etrusques, Grecqnes, Romaines, &
Ganloises, par M le Comte de Caylus. Tome
IV A'Paris, chez Tilliard, 1761. in qto.
A la t£te de ce Volume eit une Prdface
compoße de correstions & d’additions
pour les trois precedens. Le cul de lampe
de la Preface esl une Ourse qui caresse son
petit: Pur quoi M. le Comte de Caylus dit:
„ Quand on est posselTeur d’un pareil mor-
„ ceau, & que Ton fait une Preface, on ne
„ peut s’emp£cher de placer une allusion
„ aussi ’]u(te & aussi convenable ä toute espe-
„ ced’Äuteur.,, Lors qu’on fait de pareilles
reflexions, on est bien sür de son fait, &
l’on