DOI Heft:
Antiquités
DOI Artikel:Cinquiéme partie
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.31813#0058
A'iîî- rh^î
•' 'i û!B2 4°.
- Mo; üir.uns
£j HercuU-
PUil!.-
Abregé des Tkansact. philos.
couvert d’un vernis coiTi-me !e sont tous les
pots & instrumens cle terre. On a .trouvé aussi
clans ces niches, deux petits bustes de terre cuite,
de ia même hauteur 3 la tête de l'un d’eux man-
qiiç. Voilà tout ce qu’on a déçouvert cians cette
partie du bâtinqent que-je crois être ia saçade. II
est; ciair que les anciens ont fouiilé avant nous
dans cet endroit 5c dans pluiieurs autres 3 comme
les .ouvriers, qui sont très-exp.erts 9 s’en sont ap~
perçus par plusteurs circonftances évidenres ; mài^ ,
eQmme je i’ai déjà dit, ils souilloient sans mé^
thodo, car certainoment ils auroient apperçu un
trésor que nous avons trouvé dans un petit ca*
binët, & clont je vais vous donner ia description^,
C’est un trépied de ia plus gmude beauté cl’en-
viron trois pieds, 5c en très-bon état, en.un
mot, c’est ie pius beatr morceau d’anticiuité qui
existe dans ie monde entier. II est formé par trois
jçuiies satvves, exadement sembiabies. Leur tête
est d’ 'un iliperbe travail, ayant une contenance
gaie s eüe est entourée csun ruban , & elie- a sur le
front déux petites cornes qui se joignent , la main
droit-e anpuyée sur ie cbté , :1e bras gauehe à moitib
tendu 3 & la main ouverte. lis ont.un énorme
priape s leurs jambes se touchent, &ç leurs pieds.
ÿeposent sur des bases rondes faites en latîeS"
çcmvertes ds feuilles d’argent. Les trois satyres
km, %km k fpvsi- du t#gpi<t<â*
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- Mo; üir.uns
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PUil!.-
Abregé des Tkansact. philos.
couvert d’un vernis coiTi-me !e sont tous les
pots & instrumens cle terre. On a .trouvé aussi
clans ces niches, deux petits bustes de terre cuite,
de ia même hauteur 3 la tête de l'un d’eux man-
qiiç. Voilà tout ce qu’on a déçouvert cians cette
partie du bâtinqent que-je crois être ia saçade. II
est; ciair que les anciens ont fouiilé avant nous
dans cet endroit 5c dans pluiieurs autres 3 comme
les .ouvriers, qui sont très-exp.erts 9 s’en sont ap~
perçus par plusteurs circonftances évidenres ; mài^ ,
eQmme je i’ai déjà dit, ils souilloient sans mé^
thodo, car certainoment ils auroient apperçu un
trésor que nous avons trouvé dans un petit ca*
binët, & clont je vais vous donner ia description^,
C’est un trépied de ia plus gmude beauté cl’en-
viron trois pieds, 5c en très-bon état, en.un
mot, c’est ie pius beatr morceau d’anticiuité qui
existe dans ie monde entier. II est formé par trois
jçuiies satvves, exadement sembiabies. Leur tête
est d’ 'un iliperbe travail, ayant une contenance
gaie s eüe est entourée csun ruban , & elie- a sur le
front déux petites cornes qui se joignent , la main
droit-e anpuyée sur ie cbté , :1e bras gauehe à moitib
tendu 3 & la main ouverte. lis ont.un énorme
priape s leurs jambes se touchent, &ç leurs pieds.
ÿeposent sur des bases rondes faites en latîeS"
çcmvertes ds feuilles d’argent. Les trois satyres
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