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Royal Society <London> [Hrsg.]
Abrégé des transactions philosophiques de la Société Royale de Londres — 11/​12, Tome second.1790 [Cicognara, 2475B]

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Antiquités
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Sixiéme partie
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https://doi.org/10.11588/diglit.31813#0144
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124 A»Ê<SÉ DES TkANSACT. PÎÏÎLÔ&

Geoig. ! g 221, Ausii paroissoit»!! a?oir toujoiirs
m beaucoup de goûr poiir ces connoilTances§ Gç©r«.

o 9 475.

Ovioîe esb également fîdèle dans ia xmanière dont
ii trace la posture d'Hercule 5 appuyé sur un genotl §
& tenant ïhjdre dans fa rnain,

Un de ses vers, Me't. it % zjj 3 sembie dû a
quelque ancienne tradition qni piace le pois à
Tune des étoiles de Yhydre, Et son ponrroit ré-
clamer le titre YYancienne étoile polaire pour unç
de la troifîème grandeur 3 qui, vers le tems dii
déiuge 5 a dû se trouver à 1 o ’ seuiement du pôie»
Ensin Yhjdre &c Yautel éroient pour Ovide les
deux extrêmes entre lesquels 11 recQmmande à
Phaëton de tenir un iuste rqilieu s Mét* 1 î % 1 pj-.

M, Latham termine cette iettre en faisànt sentir
comhien d’autres passages ii y auroît à expliquers
êc combien on peut tirer d'intç-rprération de cette-
variation dti pôle , évaluée par moyenne estima-
îion de Fiamsteed, à i° 2,3 s 30 7 par siècie.

 R T I C L E V I I L
Sur les aigles romaines j par Æ MuJgravS:-,

4m 17 13 3 337

? Les aigie-s romaÎHes étoient-eiles d’or- ou d’ar-
Aîgles. ro- gent \ Yoiià ce que b-eaucoup d’çx.u.dits n’onrpas
 
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