Royal Society <London> [Hrsg.]: Abrégé des transactions philosophiques de la Société Royale de Londres (11/12, Tome second.1790) [Cicognara, 2475B]

ïjt Abrêgê des TrâMSACT. PHÎLÔS.

s plaines fecon”
on ne peiir pas
Sur la îan- trop admettre cette conséquence dans toure son
e ïon^u- ^ten(jue ^ car s histoire de la décadence de Tem-
pire romain est ii intimément iiée avec shistoiie
de ia Souabej du Tyroi & de ia partie basse du
pays des Grîsons3 que i’on sait avoir été sous ia
domination des premiers Francs3 qu’on ne peut
rien anprendre de oosstif d’aucun auteur sur i’état

1 J. i

ïntérieur de cette petite portion de terre.

La vidoire que remporta Clovis 15 roi des
Francs, près de Coiogne, i’an 426", sur ies Alie-
mands qui avoient fait secouer ie ioug des Ro-
mains à tous ies peupies qui habitoient au nord
des Aipes, & ia défaite des Romains & des Gothc
en Itaiie 3 i’an 549, par la perfidie de Théode-
bert j roi d’Austrasiej dont ies états furent peu
après réunis à ia couronne de France 3 durent
donner à ia race des Mérovingiens une grande
inssuence sur tous ies états 5c ies pays qui envi-
ronnoient ies Grisons. Nous trouvons s en effet,
que bientôt après , ce district fut compris, sans
aucun eftort, dans ies états de i’Empire renaissanc
d’occident. Mais nous ne voyons pas que ces mo-
narques aient usé autrement cle ieur autorité, qu en
établissant parmi ies peuples clu Rheintai, un sys-
têrne féodai en nommant des ducs, des com~
tes, des présidens ou des baiiiis, 6c en ieur ac-

donné, sur-tout après avoir vu 1
Voi. lë 6' ^ es L° mbardie. Cependant