Ann. 1760';
Voli 5 1.
Modes &:
ïbns de t’an-
ciennic muti-
gue,
ÀBRÉGE DES TrANSÂCT. PHÏLGÀ
téndre qu’ii. auroit sai/i cette occalion pour pariéï
dë runion des d.eux do&rines , s’ii s’en étoit ap-
perçu. Cependant en traitant des modes , quoh*
qu’ii les éxplique d’après les principes de ia doc-
trine harmènique feuiement, il donne quelques
taisons qui avoient determiné son auteur à les ré«
duiré à sept. Et atissi dans fa note sur ie com*-
mencement du chapiirc 1 i , livre 2 , ii expliqus
bièn ies espèces de diapafon telles qu’eües se trou-
vent entre hypate-mefon & nete-dia^eugmenon ^
mais cette înterpretatton est formellement donnée
comme s’il eût ju.gé fon auteur particulier rela-
tivement à cette doctrine , & qu’il i’eut regardée
eile-même , telle qu’eile est étabiie dans ce pas-
sâge, plutôt comme une explication de quelque
circonstance accidentelle de la doètrine harmonr-
que, que comme ia vraie doètrine des modes ;
6c on n’en peut pas douter d’après la conciusion
qu’il tire dans cette note & ailleurs, de la doo
trine muhcaie des espèces , qui est ia même que
ceile qu’il avoit tirée aüparavant de la doétrine
savoir , que les tons ainli étabiis
tolénlée sont reçus par les modernes dans
harmonique
par
leurs sept pôsîtions dii mi, Car rien ne ressembit
môins à la doctrine musscale que ce que les mo-
dernes cônçôivent ià-delsus; & cela devient auiîî
évident par la négligence à soutenir son expiica-
tion de cette do&txine de Ptôièmée ? pax de§ çii
Voli 5 1.
Modes &:
ïbns de t’an-
ciennic muti-
gue,
ÀBRÉGE DES TrANSÂCT. PHÏLGÀ
téndre qu’ii. auroit sai/i cette occalion pour pariéï
dë runion des d.eux do&rines , s’ii s’en étoit ap-
perçu. Cependant en traitant des modes , quoh*
qu’ii les éxplique d’après les principes de ia doc-
trine harmènique feuiement, il donne quelques
taisons qui avoient determiné son auteur à les ré«
duiré à sept. Et atissi dans fa note sur ie com*-
mencement du chapiirc 1 i , livre 2 , ii expliqus
bièn ies espèces de diapafon telles qu’eües se trou-
vent entre hypate-mefon & nete-dia^eugmenon ^
mais cette înterpretatton est formellement donnée
comme s’il eût ju.gé fon auteur particulier rela-
tivement à cette doctrine , & qu’il i’eut regardée
eile-même , telle qu’eile est étabiie dans ce pas-
sâge, plutôt comme une explication de quelque
circonstance accidentelle de la doètrine harmonr-
que, que comme ia vraie doètrine des modes ;
6c on n’en peut pas douter d’après la conciusion
qu’il tire dans cette note & ailleurs, de la doo
trine muhcaie des espèces , qui est ia même que
ceile qu’il avoit tirée aüparavant de la doétrine
savoir , que les tons ainli étabiis
tolénlée sont reçus par les modernes dans
harmonique
par
leurs sept pôsîtions dii mi, Car rien ne ressembit
môins à la doctrine musscale que ce que les mo-
dernes cônçôivent ià-delsus; & cela devient auiîî
évident par la négligence à soutenir son expiica-
tion de cette do&txine de Ptôièmée ? pax de§ çii