$16 ÀBRËGÉ DES TMaNS-ACT. PHItOS.
lier aui puisîe manier seul une presse d’imprimeur :
Ann. ,7^4. ajoutez ^ ce|a ue cette méthode nâte ia médaiile
N . 471, ’ a o
-Muniere ^ émousse ses traits ies plus délieats, comme je
cîe prendre m’en suis convaincu par plusieurs expériences.
i empremte ±1 i
des médail— La cire ess toujours sous la maîn de tout le
les. J
monde, 8c ne sauroit endommager la médailie ia
plus ciéiicate, 8c quelque fragiles qu’on suppose ies
isiouJes qu’on en fait , iis résistent à ia force d’une
prestion verticale presque aussi efficatement que
s’iis étoient d’acier, 8c peuvent servir à tirer miiie
imprèssions. II est vrai qisils sont sujeîs à se felers
&c ies marques de ces felures rendent les em-
preintes qison en tire ensuite bëaucoup moins
élégantes. Chaque moule peut donner trois ou
quatre bonnes empreintes, soit colorées, soit unses;
&c lorsqu’on s’en est servi, on peut, après en avoir
ôté la couleur, fondre de nouveau la cire , &
i’employer aux mêmes usages.
Ï1 est évident que les impressions tirées de cette
manière , doivent être exactement les mêmes que
ies médailles d’où on les a prises, 8c que queiqu un
qui'peut emprunter des médailles à les amis, peut,
de cetüe faoon, se procurer à peu de- frais & sans
peine, une belie collebtion d’empreintes des meil-
ieures médailies, qu’il peut placer dans des livres
par ordre, & les transporter d’une feui'lle àsautre,
pourvu qu’elles ne soient collées que par un petit
xnorceau de papier, qu’on laissera à cet effet.au
lier aui puisîe manier seul une presse d’imprimeur :
Ann. ,7^4. ajoutez ^ ce|a ue cette méthode nâte ia médaiile
N . 471, ’ a o
-Muniere ^ émousse ses traits ies plus délieats, comme je
cîe prendre m’en suis convaincu par plusieurs expériences.
i empremte ±1 i
des médail— La cire ess toujours sous la maîn de tout le
les. J
monde, 8c ne sauroit endommager la médailie ia
plus ciéiicate, 8c quelque fragiles qu’on suppose ies
isiouJes qu’on en fait , iis résistent à ia force d’une
prestion verticale presque aussi efficatement que
s’iis étoient d’acier, 8c peuvent servir à tirer miiie
imprèssions. II est vrai qisils sont sujeîs à se felers
&c ies marques de ces felures rendent les em-
preintes qison en tire ensuite bëaucoup moins
élégantes. Chaque moule peut donner trois ou
quatre bonnes empreintes, soit colorées, soit unses;
&c lorsqu’on s’en est servi, on peut, après en avoir
ôté la couleur, fondre de nouveau la cire , &
i’employer aux mêmes usages.
Ï1 est évident que les impressions tirées de cette
manière , doivent être exactement les mêmes que
ies médailles d’où on les a prises, 8c que queiqu un
qui'peut emprunter des médailles à les amis, peut,
de cetüe faoon, se procurer à peu de- frais & sans
peine, une belie collebtion d’empreintes des meil-
ieures médailies, qu’il peut placer dans des livres
par ordre, & les transporter d’une feui'lle àsautre,
pourvu qu’elles ne soient collées que par un petit
xnorceau de papier, qu’on laissera à cet effet.au