DOI Heft:
Inventions et machines
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’Ann. 1743.
N*. 470.
Sur les
étalons des
poids Sc me-
surgi.
'344 ÂBEÉGÉ DES TrÂNSACT. PEIILOS.
de parler, 8c 011 trouva qu’elle étoit plus courte
que l’étalon de l’échiquier, marqué maintenant
avec soin sur la ligne du miiieu cle la barre ds
Rev. Div,
cuivre de la société roya-
ie , de . . . . ».o: 16,8=©2 îc= —~a
p 5 47-Ô-
Quant aux poids, ceux de i’échiquier, qu’on
regarde comme ies étalons, sont un amas de poicls
troy de cuivre, qui s’emboitent ies uns dans ies
autres depuis CCLVI onces jusqu’à la seizième
partie d’une once, tous marqués avec un E cou-
ronné, mais ii ne s’y trouve point de deniers ou
de grains qui soient en aucune manière regardés
comme étaions.
On convient généraiement que le poids men-
tionné dans tous nos anciens actes de parlement de
puis le tems du roi Edouard I, eft le poids troy dont
la iivre étoit de douze onces, chacune desquelies
contenoit vingt deniers, 8c comme ia livre est ie
plus grand poids simple qui ioit mentionné dans ces
aCtes, douze onces prises de la pile des poids troy
dont nous venons de parler, n’y ayant point de
poids d’une Üvre troy Emple , doivent être re-
gardées comme le vrai étalon de ia livre troy, qui
est maintenant en usage en Angleterre.
Outre ces étalons troy , on garde auffî dans
l’échiquier les e'talons suivans, pour ies poids avoit
du poids s c’est-à-dire, nn poids creux de. cuivre
N*. 470.
Sur les
étalons des
poids Sc me-
surgi.
'344 ÂBEÉGÉ DES TrÂNSACT. PEIILOS.
de parler, 8c 011 trouva qu’elle étoit plus courte
que l’étalon de l’échiquier, marqué maintenant
avec soin sur la ligne du miiieu cle la barre ds
Rev. Div,
cuivre de la société roya-
ie , de . . . . ».o: 16,8=©2 îc= —~a
p 5 47-Ô-
Quant aux poids, ceux de i’échiquier, qu’on
regarde comme ies étalons, sont un amas de poicls
troy de cuivre, qui s’emboitent ies uns dans ies
autres depuis CCLVI onces jusqu’à la seizième
partie d’une once, tous marqués avec un E cou-
ronné, mais ii ne s’y trouve point de deniers ou
de grains qui soient en aucune manière regardés
comme étaions.
On convient généraiement que le poids men-
tionné dans tous nos anciens actes de parlement de
puis le tems du roi Edouard I, eft le poids troy dont
la iivre étoit de douze onces, chacune desquelies
contenoit vingt deniers, 8c comme ia livre est ie
plus grand poids simple qui ioit mentionné dans ces
aCtes, douze onces prises de la pile des poids troy
dont nous venons de parler, n’y ayant point de
poids d’une Üvre troy Emple , doivent être re-
gardées comme le vrai étalon de ia livre troy, qui
est maintenant en usage en Angleterre.
Outre ces étalons troy , on garde auffî dans
l’échiquier les e'talons suivans, pour ies poids avoit
du poids s c’est-à-dire, nn poids creux de. cuivre