Ann, 1760,
Tome 5 t.

Mesure du
pied rotnai+’,

Ï04 ÀBRÊGÉ DÏS TrAMSAGT. PHïLÛS.

Les mesures qui ont été eomparées avec cellesi
de Greaves, sont réduires ic-i en millièmes du pied
de Londres, en supposant que le pied dç Parig
pontienne io6"5,4 de ces millièmes.

C’est-à-dire qu’on a divisé ie pied de Londrei
en miiis parties , &c que ces mesures contiennenç
de ces parties tel ou tei nombre, comme le pied
de Baris en contient 10 £5,4.

Greaves.

Auzout.

diffîr. disser. par p.ied»

Le pîsd atïJien , 97.2. • »

. 969,95-

• • 1,04 - • - i, 1 •

Le braccïo ae îrloreace , 1915 = »

« 1908 84.

• .4,16. •• i,i 8•

Le hraccio de Sienne, 1974».

•1975UI •

•°Oj79*•*o, 4»

La palme de Pçecusa 7}*°°

° 75 ï>3 S “

•.0,65 • • *0,89 •

Toutes ces différenees font en moins, 5c fonç
voir que la proportion du pied de Londres par-
Grçaves, au pied de Paris par Auzout, ost moin-s
çbe que ceiie de 1000 à ïoé'5,4.

Le pied slatilien & le braccio de Florence ao.n-
|ïènt une plus grande différence que lss autres
îiîesures j le premier- est en reiief, & l’autre efl
wne baguetre , de sorte qne ie tems &£ i’usage doL
vorit avoir opéré sur l’un & sur i’autre quelqu’aL
tëration. La palrne est gravée , & Âuzout a soupr
qormé, par I4 diminudon de la propartion ordk
tuUf-e du pied grec de Poetus au pied romain, qui
0ide z$ à 243 que le braccio s’étoit allqngé. Sî;

eit j la meme çhosç a dû arrivet pou» ia palmeu
JJa m saaïois diïç pourquoi U y a d jea de diffé-,