X,
426 LUCAS DE LEYDE.
Dans la première copie il n'y en a pas
du tout.
Dans la seconde il n'y en a qu'un
seul.
Pour les différences de la branche sèche,
elles se font remarquer dans la planche
explicative plus clairement qu'on ne sau-
roit les décrire. Il en est de même de la
forme des petits cailloux qui sont au coin
d'en bas de la gauche.
Nous croyons devoir remarquer encore,
que la première copie est extrêmement
rare. Il est vraisemblable, que celui qui l'a
gravée, a anéanti la planche après en avoir
tiré seulement un petit nombre d'épreuves
qui, considérées comme originales, peu-
vent aisément lui avoir rapporté la ré-
compense désirée de son travail. Il n'est
guère possible de s'expliquer leur rareté
excessive dune autre manière.
160. Tête d'un guerrier.
Elle est armée d1 un casque, repré-
sentée de profil et dirigée vers la gau-
che, dans une espèce de médaillon, au
milieu de quelques rinceaux d'ornemens.
L'année 1527 et la lettre L sont mar-
426 LUCAS DE LEYDE.
Dans la première copie il n'y en a pas
du tout.
Dans la seconde il n'y en a qu'un
seul.
Pour les différences de la branche sèche,
elles se font remarquer dans la planche
explicative plus clairement qu'on ne sau-
roit les décrire. Il en est de même de la
forme des petits cailloux qui sont au coin
d'en bas de la gauche.
Nous croyons devoir remarquer encore,
que la première copie est extrêmement
rare. Il est vraisemblable, que celui qui l'a
gravée, a anéanti la planche après en avoir
tiré seulement un petit nombre d'épreuves
qui, considérées comme originales, peu-
vent aisément lui avoir rapporté la ré-
compense désirée de son travail. Il n'est
guère possible de s'expliquer leur rareté
excessive dune autre manière.
160. Tête d'un guerrier.
Elle est armée d1 un casque, repré-
sentée de profil et dirigée vers la gau-
che, dans une espèce de médaillon, au
milieu de quelques rinceaux d'ornemens.
L'année 1527 et la lettre L sont mar-