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CHAPITRE V. 161

mystérieux fardeau. « Il y & dans la vil le, « cl ï t Pau-
sanias *, « une enceinte qui est voisine de la
« Vénus des Jardins, et, dans cette enceinte, un
« escalier souterrain creusé par la nature. C'est
« parla que les jeunes filles descendent. »

L'on sait que le temple de Vénus était du côté
de l'Ilissus2. L'enceinte dont il est question ne
peut donc être l'Agraulium. Ce qui prouve que
UôXtç ne désigne pas l'Acropole, comme cela arrive
souvent, c'est que Pausanias emploie quatre lignes
plus bas le mot 'AxpfkoXtç3. Du reste, où l'on com-
prend à peine que des guerriers aient passé, il est
invraisemblable que des jeunes filles pussent des-
cendre la tête chargée. L'escalier souterrain était
dans une enceinte qui se trouvait dans la ville,
près de la Vénus des Jardins. C'est ce que dit, du
moins, Pausanias.

' "Ecti Se irEpîëoXoç Iv tyj toDiei tt)ç xaXou[/.£vY)i; Iv Kiyrcotç
'AçpoStTVjç où TO^tij, xa\ Si' aÙTOÛ xâOoSô; Ô7rôyato<; aÙTOu-ir/j"
TaûtT) xaxiaaiv al 7capôÉvoi. ( Paus., XXVII. )

2 Voy. Leake, Topogr. ofJtk., p. 274, 275.

1 "ETÉpoti; Ss sic t})v 'AxpoTroXiv Tt-xp^evouç &yo\jai.v. ( Ibid. )
 
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