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Fourtau, René: Les minéraux de la région Kéneh-Kosseir et les carrières de Syout
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.12564#0125
plus p 'tites relativement à la largeur des zone> porifères et le
péristorae tend à devenir pentagonal.
Elle diffère du Co/i. Delanouei (Loriol) en ce que ses ambulacres
se ferment au pourtour au lieu de se transformer en une série de
pores extrêmement petits, simples et superposés. De plus, le sommet
ambulacraire est excentrique en avant, au lieu de l'être en arrière.
Le Cou. Pyrenatcus (Gotteau) à la face inférieure moins plane,
son pourtour est plus arrondi et plus renflé, ses bourrelets péris-
tomaux moins accusés et son pérïprocte plus arrondi.
Le C011. Ca/npanœformis (Dames) a, comme l'indique son nom,
une forme toute particulière et son bord est tranchant.
UEchinolampas africanas (Loriol), auquel cette espèce ressem-
ble par sa face supérieure, sauf les ambulacres qui sont moins longs,
en diffère surtout par son périprocte transverse et ses phyllodes bien
définis à pore gros évasés, et très dédoublés sur six rangées.
Nous nous trouvons donc en présence d'une nouvelle espèce et
j'ai l'honneur de vous proposer de l'appeler Phylloclypeus Gau-
dryi du nom de l'éminent paléontologue français, dans les cours
duquel j'ai puisé les quelques notions qui me permettent aujourd'hui
de vous présenter ces modestes observations.
Cette espèce est surtout remarquable en ce qu'elle appartient à
un genre nouveau créé par M. de Loriol dans son inétressante
monographie des Echinides et qui n'était connue jusqu'aujourd'hui
que dans le terrain crétacé. Cette nouvelle espèce ne serait donc
que la continuation aux premières époques éocènes des Echinides de
la craie et formerait la transition entre le Phylloclypeus ouatus
(Loriol ---- Conoclypeus ovatus, d'Orbigny) de la craie et les
Conoclypéidées tertiaires.
péristorae tend à devenir pentagonal.
Elle diffère du Co/i. Delanouei (Loriol) en ce que ses ambulacres
se ferment au pourtour au lieu de se transformer en une série de
pores extrêmement petits, simples et superposés. De plus, le sommet
ambulacraire est excentrique en avant, au lieu de l'être en arrière.
Le Cou. Pyrenatcus (Gotteau) à la face inférieure moins plane,
son pourtour est plus arrondi et plus renflé, ses bourrelets péris-
tomaux moins accusés et son pérïprocte plus arrondi.
Le C011. Ca/npanœformis (Dames) a, comme l'indique son nom,
une forme toute particulière et son bord est tranchant.
UEchinolampas africanas (Loriol), auquel cette espèce ressem-
ble par sa face supérieure, sauf les ambulacres qui sont moins longs,
en diffère surtout par son périprocte transverse et ses phyllodes bien
définis à pore gros évasés, et très dédoublés sur six rangées.
Nous nous trouvons donc en présence d'une nouvelle espèce et
j'ai l'honneur de vous proposer de l'appeler Phylloclypeus Gau-
dryi du nom de l'éminent paléontologue français, dans les cours
duquel j'ai puisé les quelques notions qui me permettent aujourd'hui
de vous présenter ces modestes observations.
Cette espèce est surtout remarquable en ce qu'elle appartient à
un genre nouveau créé par M. de Loriol dans son inétressante
monographie des Echinides et qui n'était connue jusqu'aujourd'hui
que dans le terrain crétacé. Cette nouvelle espèce ne serait donc
que la continuation aux premières époques éocènes des Echinides de
la craie et formerait la transition entre le Phylloclypeus ouatus
(Loriol ---- Conoclypeus ovatus, d'Orbigny) de la craie et les
Conoclypéidées tertiaires.