DOI Heft:
[Procès-verbaux des séances]
DOI Artikel:Séance du Comité du 2 décembre 1861
DOI Artikel:Séance générale de la Société, tenue à l'hôtel de la préfecture à Strasbourg, le 5 décembre 1861
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.19859#0037
ralion de ccs peintures; mais qu'avec Ig retour de la belle saison, cetle
restauration s'effectuera.
Le reste de la seance est rempli pär la lectare du discours et des rap-
ports qui doivent etre lus en assemblee generale.
La seance est levee ä 1 heure et quarl.
Seance generale de la Societe, tenuc ä l'hötel de la preTecturc ä
Strasbourg, le 5 decembre 1861.
Presidence de M. MIGNERET, prefet du Bas-Rhin, president honoraire.
La seance est ouverte ä deux heures et quarl.
Sont presents cent et quelques membres.
MM. Spach, president de la societe; Schir, vice-president; de Hing et
Eissen, secretaires, sont assis au bureau.
M. Braun, president du Consistoire de la confession d'Augsbourg, membre
honoraire, et M. Barth de Sainte-Fare, conservateur des forets ä Strasbourg,
y prennent place sur l'invitation du president.
M. le prefet ouvre la seance par les paroles suivantes :
«Messieurs, il y a quelques jours, le Ministre de l'instruclion publique
constatait avec une legitime satisfaction le nombre et l'importance des
societes savantes dont il a eu la bonne pensee de reunir les representants
autour delui, l'utilite de leurs travaux et l'impulsion nouvelle que la pu-
blicite donnerait aux etudes de ces societes. En ouvrant cette seance, je
suis non moins heureux de conslater que vous figuriez dans les causes de
cette satisfaction et qu'une mention honorable pour tous, personnelle pour
M. Heitz, Tun des nolres, a ränge la societe des monumenls historiques
d'Alsace parmi les societes savantes recompensees, et a place ses travaux
dans les premiers rangs des ceuvres utiles.
«Plus nous avons ete modestes dans nos debuts, plus il nous est permis
de nous rejouir de cette distinction qui älteste le developpement qu'onl
pris peu ä peu vos etudes el vos recherches. Je ne vous demandais dans
1'origine que de veiller avec une piete liliale sur les debris mutiles du
passe, de conserver pour l'avenir les vestiges de vos a'ieux, et, non-seulement
vous l'avez fait avec un succes qui n'a plus besoin d'etre proclame, mais
vous avez depasse le champ trace dans 1'origine ä volre aclivile.
restauration s'effectuera.
Le reste de la seance est rempli pär la lectare du discours et des rap-
ports qui doivent etre lus en assemblee generale.
La seance est levee ä 1 heure et quarl.
Seance generale de la Societe, tenuc ä l'hötel de la preTecturc ä
Strasbourg, le 5 decembre 1861.
Presidence de M. MIGNERET, prefet du Bas-Rhin, president honoraire.
La seance est ouverte ä deux heures et quarl.
Sont presents cent et quelques membres.
MM. Spach, president de la societe; Schir, vice-president; de Hing et
Eissen, secretaires, sont assis au bureau.
M. Braun, president du Consistoire de la confession d'Augsbourg, membre
honoraire, et M. Barth de Sainte-Fare, conservateur des forets ä Strasbourg,
y prennent place sur l'invitation du president.
M. le prefet ouvre la seance par les paroles suivantes :
«Messieurs, il y a quelques jours, le Ministre de l'instruclion publique
constatait avec une legitime satisfaction le nombre et l'importance des
societes savantes dont il a eu la bonne pensee de reunir les representants
autour delui, l'utilite de leurs travaux et l'impulsion nouvelle que la pu-
blicite donnerait aux etudes de ces societes. En ouvrant cette seance, je
suis non moins heureux de conslater que vous figuriez dans les causes de
cette satisfaction et qu'une mention honorable pour tous, personnelle pour
M. Heitz, Tun des nolres, a ränge la societe des monumenls historiques
d'Alsace parmi les societes savantes recompensees, et a place ses travaux
dans les premiers rangs des ceuvres utiles.
«Plus nous avons ete modestes dans nos debuts, plus il nous est permis
de nous rejouir de cette distinction qui älteste le developpement qu'onl
pris peu ä peu vos etudes el vos recherches. Je ne vous demandais dans
1'origine que de veiller avec une piete liliale sur les debris mutiles du
passe, de conserver pour l'avenir les vestiges de vos a'ieux, et, non-seulement
vous l'avez fait avec un succes qui n'a plus besoin d'etre proclame, mais
vous avez depasse le champ trace dans 1'origine ä volre aclivile.