pitalité du palais Corsini, un admirable Musée d’art, on
le sait.
Le programme des délibérations avait été formulé ainsi
dans le règlement préparatoire"1 :
i° Situation qui doit être faite à l’histoire de l’art médié-
val et moderne en face des disciplines voisines (la ques-
tion avait été largement esquissée dans une communica-
tion du professeur Venturi au Congrès de Munich);
2° Rapports de l’art italien avec l’art des autres pays;
3° Problèmes généraux et questions de méthode.
Comme complément, on avait projeté et on organisa,
en effet, une exposition de reproductions photogra-
phiques ou photomécaniques pour l’illustration des livres
d’art; une exposition des périodiques d’art italiens; une
exposition des publications non mises dans le commerce
(catalogue de collections privées, plaquettes per le no^e,
etc.).
Ce programme, — un peu vaste pour le temps dont on
allait disposer, — fut cependant rempli en grande partie.
Le Congrès avait été à l’avance partagé en quatre sec-
tions, selon les sujets suivants :
i° Histoire de l’art chrétien primitif et médiéval jusqu’à
la fin du xive siècle ;
2° Art du xve siècle;
3° Histoire de l’art depuis le xvie siècle jusqu’aux temps
contemporains ;
40 Méthode d’histoire de l’art; organisation du travail,
Musées, etc.
Il devait y avoir chaque matin des séances particu-
lières de sections, chaque après-midi une séance plénière.
IL
Je ne m’occuperai ici que des travaux scientifiques du
Congrès. Je ne puis cependant passer sous silence l’ac-
cueil cordial fait aux congressistes, l’entente qui n’a cessé
de régner entre les représentants des différents pays, la
1. Cf. X Congresso internationale di Storia dell’ arte in
Roma, 16-21 ottobre 1912.
le sait.
Le programme des délibérations avait été formulé ainsi
dans le règlement préparatoire"1 :
i° Situation qui doit être faite à l’histoire de l’art médié-
val et moderne en face des disciplines voisines (la ques-
tion avait été largement esquissée dans une communica-
tion du professeur Venturi au Congrès de Munich);
2° Rapports de l’art italien avec l’art des autres pays;
3° Problèmes généraux et questions de méthode.
Comme complément, on avait projeté et on organisa,
en effet, une exposition de reproductions photogra-
phiques ou photomécaniques pour l’illustration des livres
d’art; une exposition des périodiques d’art italiens; une
exposition des publications non mises dans le commerce
(catalogue de collections privées, plaquettes per le no^e,
etc.).
Ce programme, — un peu vaste pour le temps dont on
allait disposer, — fut cependant rempli en grande partie.
Le Congrès avait été à l’avance partagé en quatre sec-
tions, selon les sujets suivants :
i° Histoire de l’art chrétien primitif et médiéval jusqu’à
la fin du xive siècle ;
2° Art du xve siècle;
3° Histoire de l’art depuis le xvie siècle jusqu’aux temps
contemporains ;
40 Méthode d’histoire de l’art; organisation du travail,
Musées, etc.
Il devait y avoir chaque matin des séances particu-
lières de sections, chaque après-midi une séance plénière.
IL
Je ne m’occuperai ici que des travaux scientifiques du
Congrès. Je ne puis cependant passer sous silence l’ac-
cueil cordial fait aux congressistes, l’entente qui n’a cessé
de régner entre les représentants des différents pays, la
1. Cf. X Congresso internationale di Storia dell’ arte in
Roma, 16-21 ottobre 1912.