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Enfin, sur la proposition que j’avais transmise en votre
nom, et qui prit une portée et une face nouvelles lorsque je
pus y joindre l’invitation adressée par le vice-recteur de
l’Académie de Paris, M. Liard, président du Conseil de
l’Université de Paris, le comité permanent et la giunta
acceptèrent chaleureusement l’idée de tenir à Paris le
prochain Congrès. Cette proposition, à laquelle M. Dieu-
lafoy apporta son concours très empressé, au nom du
ministère de l’Instruction publique, et à laquelle l’am-
bassadeur de France, M. Barrère, avait bien voulu appor-
ter l’appui de sa haute autorité, fut soumise, suivant le
règlement, à l’assemblée générale des congressistes et votée
à l’unanimité.
Le prochain Congrès aura donc lieu chez nous en 1916.
Il se tiendra à la Sorbonne, sous le haut patronage de
l’Université et du recteur. Notre Société y occupera la
place qu’elle doit avoir. Mais cela, c’est l’avenir ; je n’avais
pour le moment à vous entretenir que du passé.
Tableaux de J.-Fr. de Troy
AUX MUSÉES DE BÂLE ET DE NEUCHÂTEL.
(Communication de M. Gaston Brière1 *.)
Les Musées cfe Bâle et de Neuchâtel conservent d’im-
portants tableaux de Jean-François de Troy sur lesquels
il est intéressant d’appeler l’attention des historiens de la
peinture française du xvme siècle.
Au Musée de Bâle se trouve une peinture représentant
Diane et ses Nymphes au bain surprises par Actéon, que
la colère de la déesse vient de changer en cerf. Cette toile,
qui porte le n°6i8du Catalogue des collections publié en
1910 (Basel, in-16), mesure im2g de hauteur sur im93 de
1. M. G. Brière a commenté plusieurs autres peintures ou
sculptures des Musées de Bâle, Neuchâtel et Genève; avec la
collaboration de M. C. de Mandach, il compte publier au Bul-
letin de 1913 un relevé critique de? principales œuvres d’art
françaises modernes conservées dans les collections publiques
de la Suisse.
Enfin, sur la proposition que j’avais transmise en votre
nom, et qui prit une portée et une face nouvelles lorsque je
pus y joindre l’invitation adressée par le vice-recteur de
l’Académie de Paris, M. Liard, président du Conseil de
l’Université de Paris, le comité permanent et la giunta
acceptèrent chaleureusement l’idée de tenir à Paris le
prochain Congrès. Cette proposition, à laquelle M. Dieu-
lafoy apporta son concours très empressé, au nom du
ministère de l’Instruction publique, et à laquelle l’am-
bassadeur de France, M. Barrère, avait bien voulu appor-
ter l’appui de sa haute autorité, fut soumise, suivant le
règlement, à l’assemblée générale des congressistes et votée
à l’unanimité.
Le prochain Congrès aura donc lieu chez nous en 1916.
Il se tiendra à la Sorbonne, sous le haut patronage de
l’Université et du recteur. Notre Société y occupera la
place qu’elle doit avoir. Mais cela, c’est l’avenir ; je n’avais
pour le moment à vous entretenir que du passé.
Tableaux de J.-Fr. de Troy
AUX MUSÉES DE BÂLE ET DE NEUCHÂTEL.
(Communication de M. Gaston Brière1 *.)
Les Musées cfe Bâle et de Neuchâtel conservent d’im-
portants tableaux de Jean-François de Troy sur lesquels
il est intéressant d’appeler l’attention des historiens de la
peinture française du xvme siècle.
Au Musée de Bâle se trouve une peinture représentant
Diane et ses Nymphes au bain surprises par Actéon, que
la colère de la déesse vient de changer en cerf. Cette toile,
qui porte le n°6i8du Catalogue des collections publié en
1910 (Basel, in-16), mesure im2g de hauteur sur im93 de
1. M. G. Brière a commenté plusieurs autres peintures ou
sculptures des Musées de Bâle, Neuchâtel et Genève; avec la
collaboration de M. C. de Mandach, il compte publier au Bul-
letin de 1913 un relevé critique de? principales œuvres d’art
françaises modernes conservées dans les collections publiques
de la Suisse.