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Société de l'Histoire de l'Art Français [Hrsg.]
Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français — 1914

DOI Artikel:
Maurel, André; Guiffrey, Jules [Bearb.]: À propos de l'"Enseigne de Gersaint": lettre de M. André Maurel à M. Jules Guiffrey, président de la Société de l'Histoire de l'Art Français
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https://doi.org/10.11588/diglit.34387#0060

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- 54

CORRESPONDANCE.

A PROPOS DE L' « ENSEIGNE DE GERSAINT x.

LETTRE DE M. ANDRÉ MAUREL A M. JuLES GuiFFREY,
PRÉSIDENT DE LA SOCIÉTÉ DE L'HlSTOIRE DE L'ART FRANÇAIS.
Monsieur le Président,
Je vous serai obligé de vouloir bien publier dans le
RiJ/eD'n de la Société de l'Histoire de l'Art français cette
réponse à l'article de M. Paul Alfassa sur mon volume
intitulé : de CerjaDit. Cette hospitalité vous
paraîtra d'autant plus légitime à m'accorder que vos
sociétaires, ne connaissant, jusqu'à ce jour, ma pensée
que par l'interprétation de M. Alfassa, désireront, sans
doute, entendre au moins un faible écho de ma propre
voix.
M. Alfassa parle de mon « plaidoyer x. Je n'ai cepen-
dant point, moi, parlé de son « réquisitoire x. C'est qu'il
n'y a ni l'un ni l'autre. Je n'ai pas requis contre les
tableaux de Berlin, ni plaidé pour celui de Paris, plus
que M. Alfassa, le premier, n'a requis contre M. Michel-
Lévy, ni plaidé pour le roi de Prusse. Nous avons seule-
ment, l'un et l'autre, avec nos facultés respectives, essayé
de faire ressortir ce que nous croyions la vérité.
M. Alfassa m'attribue sur la copie par Philippe Mer-
cier une certitude qui n'est pas la mienne. J'ai simple-
ment suggéré, en termes très mesurés et purement con-
jecturaux, ce nom aux chercheurs. Mais je n'en jure rien
du tout.
Insistant sur son interprétation du mot enseigne,
Al. Alfassa invoque M. Vuafiart — qui me donne raison;
mais M. Alfassa ne le dit pas. Et je rappelle ce point
important que le mot enseigne appliqué à l'œuvre est
postérieur de onze ans à la mort de Watteau.
 
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