— 148 —
— il n’y en avait que deux portant véritablement cette
qualification, — sont, pour le civil : M. Gilbert; pour le
criminel : M. de la Beaune. Antérieurement, en 1716,
nous trouvons : Dongois et de la Beaune; en 1717 : Don-
gois, Gilbert, « reçu en survivance », et toujours comme
« greffier en chef au criminel » M. de la Beaune. Posté-
rieurement, en 1719 : Gilbert au civil et Pintrel-Desbiez
au criminel. Qui déchiffrera le dernier mot de l’énigme?
Deux bustes inconnus de Jean-Jacques Gaffiéri.
(Communication de M. A. Boinet.)
Je dois à l’excellente amitié du comte Roland de Mont-
richard l’honneur de vous présenter aujourd’hui deux
œuvres inconnues du grand sculpteur Jean-Jacques Caf-
fiéri. Il s’agit de deux bustes en terre cuite pleine, signés
et datés, conservés au château de Saint-Gervais, près
Blois, propriété du comte de Montrichard, qui a bien
voulu m’autoriser à les photographier et à en faire l’objet
d’une notice pour la Société de l’histoire de l’Art français,
ce dont je lui suis infiniment reconnaissant.
Le premier de ces deux bustes porte au revers l’ins-
cription suivante, gravée par l’artiste même, suivant son
habitude :
Pierre Lambert-Roland,
né le 6 janvier 1729.
Fait par Jean-Jacques Gaffiéri.
i785.
Le personnage, la tète tournée de trois quarts à droite
et légèrement inclinée en avant, porte une perruque à la
catogan, un habit à grand col et revers, une chemise à
jabot, enfin une cravate très serrée autour du cou. La
hauteur, sans le piédouche de bois (o®io5), est de om5o5, et
la largeur d’épaule à épaule, de om34.
— il n’y en avait que deux portant véritablement cette
qualification, — sont, pour le civil : M. Gilbert; pour le
criminel : M. de la Beaune. Antérieurement, en 1716,
nous trouvons : Dongois et de la Beaune; en 1717 : Don-
gois, Gilbert, « reçu en survivance », et toujours comme
« greffier en chef au criminel » M. de la Beaune. Posté-
rieurement, en 1719 : Gilbert au civil et Pintrel-Desbiez
au criminel. Qui déchiffrera le dernier mot de l’énigme?
Deux bustes inconnus de Jean-Jacques Gaffiéri.
(Communication de M. A. Boinet.)
Je dois à l’excellente amitié du comte Roland de Mont-
richard l’honneur de vous présenter aujourd’hui deux
œuvres inconnues du grand sculpteur Jean-Jacques Caf-
fiéri. Il s’agit de deux bustes en terre cuite pleine, signés
et datés, conservés au château de Saint-Gervais, près
Blois, propriété du comte de Montrichard, qui a bien
voulu m’autoriser à les photographier et à en faire l’objet
d’une notice pour la Société de l’histoire de l’Art français,
ce dont je lui suis infiniment reconnaissant.
Le premier de ces deux bustes porte au revers l’ins-
cription suivante, gravée par l’artiste même, suivant son
habitude :
Pierre Lambert-Roland,
né le 6 janvier 1729.
Fait par Jean-Jacques Gaffiéri.
i785.
Le personnage, la tète tournée de trois quarts à droite
et légèrement inclinée en avant, porte une perruque à la
catogan, un habit à grand col et revers, une chemise à
jabot, enfin une cravate très serrée autour du cou. La
hauteur, sans le piédouche de bois (o®io5), est de om5o5, et
la largeur d’épaule à épaule, de om34.