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Le charivari — 14.1845

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Décembre (No. 335-365)
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https://doi.org/10.11588/diglit.17624#1364
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faire que d'essayer leur ameublement en enlevant les
propres femmes des deux ouvriers qui se sont ma-
riés le jour même où ils terminaient leur besogne
clandestine.

Les deux jeunes serrurières sont donc conduites
dans la petite maison, sous un prétexte que vous
n'hériteriez pas à qualifier de fallacieux si vous le
connaissiez ; puis, au moment où ces pauvres pe-
tites colombes vont devenir la proie des vautours
de la gabelle, surviennent les maris qui font tourner
contre les financiers toutes les ingénieuses mécani-
ques destinées à faire culbuter la vertu.

Les vieux renards, pris au pi<5ge par les poulettes,
sont confus au suprême degré et paient une énorme
rançon pour être délivrés de leur captivité.

Cette pièce, dont le premier acte est assez amu-
sant, languit dant la seconde partie ; cependant les
deux Lepeintre sont d'amusans financiers, et Mmes
Paul Ernest et Valence sont de charmantes serru-
rières, qui ne doivent pas être embarrassées pour
trouver la clé des cœurs.

Hernani vient d'être repris au Théâtre-Français.

Mi €IÏA«ÏVAKÏ. jElJDl il DÉCE1

lieu à un procès. Achard, annoncé sur l'affichée
me devant jouer Grivet de la Marquise de pJ!^ , >LA\m pî (1p 1
taille, a déclaré ne pouvoir sans répétitions ^
ger de ce rôle oublié par lui depuis dix-huit m eïpflCBC,,sSMT'16
la direction insistant, le tribunal de commerce a v'S-
le conflit en donnant gain de cause ^ i'artigtfi
est fâcheux que ces petits détails d'intérieur so'
transportés au grand iour des débats

L'œuvre de Victor Hugo a été vivement applaudie.

Le bénéfice de Firmin avait attiré, l'autre jour,une
assemblée nombreuse et choisie. Nous comprenons
bien qu'il se soit trouvé à Paris deux mille person-
nes empressées de donner une marque de sympathie
à un artiste honorable et intéressant; mais nous n'ad-s
mettons pas qu'on puisse trouver, dans la capitale
du peuple le plus spirituel de l'univers, deux millj
amateurs capables de se déranger pour voir jouer
Electre. Même sous le régime du Juste-Milieu, nous
ne désespérons pas de notre pays à ce point.

Quelle nécessité d'aller reprendre une tragédie au
moins médiocre, quand les tragédies, même bonnes,
sont si difficiles à supporter !

Le prince des critiques, dans son feuilleton des
Débals pour et contre la tragédie grecque, dit que
Mlle Gaussin n'a jamais rien pu faire de bon du rôle
d'Electre. Cela lui eût été bien difficile, c'est Mlle
Clairon qui l'a joué.

Un autre bénéfice, celui qu'a organisé au Gymnase
Mme Léontine Volnys pour le fils de Chol,artiste des
Folies-Dramatiques, mort il y a un mois, a donné

transportes au grand jour des débats publics et
faut d'autant plus le regretter dans l'espèce qUe 1[L*0'8''
bénéfice si intéressant du fils Chol a dû nécessair

ment en souffrir. A cela nous verrions bien une corn nn^'ens datent d6S
pensation, c'est que le tribunal voulût bien, dans «f -S888©
sortes de cas, tenir son audience sur le théâtre
qui remplacerait avantageusement le spectacle\M«*nne>pour ,a F"nc
public eût probablement applaudi, et le fils Chol e> 'StfE £
certainement bem les magistrats. V'^nru chezies Dir

---^feX'and foreigr

Le gérant, léopold pannibr. S«strect ' strand-

Les Actionnaires de l'ancienne société du Charivarîtl
convoqués en assemblée générale pour le 27 de ce mois à ni
heure précise, au bureau du journal, à l'effet d'enteîidr»^
d'arrêter les comptes de la liquidation. el

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