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Le charivari — 14.1845

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Décembre (No. 335-365)
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I,E CHARIVARI. |gHDRf:1)l 12 ^

quetaires de l'Ambigu, ont fait hier leurs premières
manœuvres aux Délassemens-Comiques. Il y a de
fort bonnes intentions parodiques dans ces cinq ta-
bleaux de MM. Couialhac, de Léris etGuénée; mais
ils manquent un peu de vivacité et beaucoup de
femmes. Le succès a été complet.

Pierrots, mes concitoyens, réjouissez-vous ! l'Opé-
ra va ouvrir ses portes aux bals masqués. Le 20 dé-
cembre à minuit le bâton de Musard donnera son
premier signal. La salle sera resplendissante, la mu-
sique étourdissante, la foule étouffante. Les intri-
gues y seront chaudes et les glaces fraîches... Pier-
rots, réjouissez-vous I

Le succès de ltjcrèce, à l'Odeon, semble grandir a
chaque représentation; ce soir, Mlle Briard y continuera ses
débuis par le rôle deTullie. Le spectacle finira par les jeux
de l'amour ex du hasard.

#*»La salle du Vaudeville est pleine tous les soirs.

a propos de bottes d'habits et de bonnets. I pas un morceau, elle mettrait M. Guizot dans ses

1 petits souliers

* 0O««

EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.

Si, dans un ménage, une femme emportée a pour mari un
homme bénin, l'enfer est dans la maison. (Scie dans un mé-
nage, une femme emportée, A pour mât, ris, un homme B
nain, l'enfer est à la maison.)

Je ne sais quelle rage de Richardson avait pris
tout à coup à nos modistes, on n'entendait plus par-
ler que de chapeaux Pamélas ou de capotes Clarisses.
Entraînés par ce fatal exemple, les hommes eux-
mêmes étaient sur le point de se faire faire, par Du-
sautoy, des habits Lovelace. Les coquins ! Mais voici
qu'une coiffure nouvelle croit à l'horizon, c'est le
bonnet jardinière de Mme Drouat et Marx, un bonnet
digne de Florian, avec des fleurs, des rubans, un
parterre complet, en tout douze couleurs. Coeurs de
glace, résistez si vous pouvez à tant d'éclat ! Ce bon-
net est sur le point de porter le trouble dans le mi-
nistère, de même que l'habit Brummell, de Dusau-
toy, va opérer sous peu de jours des perturbations
considérables dans le personnel d'une ambassade.

M. Guizot lui-même va quitter l'habit noir pour
le frac bleu de l'ami du duc d'York; il prétend que ce
vêtement est d'une très bonne politique. Il ne lui
manquera plus qu'un joli stick de Verdier et un
paletot rustique de Dussautoy pour être tout à fait
anglais et de cœur et d'aspect.

Mais gare qu'un de ces jours la Sylphide ne le
rencontre ! La Sylphyde, qui s'est constituée par la
plume d'un de ses rédacteurs, l'un des plus rudes
champions des manières et de l'élégance françaises,
le jour où la gracieuse revue prendrait à partie les
pans insulaires de M. le ministre, elle n'en laisserait

RÉBUS.

On prétend que c'est Rageot qui les lui fait.Rageot J| la ^aC
mon ami, prenez garde à vous! si vous continuez de f CRot^r>16 (
chausser des pieds d'Excellences, vous allez vous *tE
gâter la main.

A propos de bottes, la Sylphide _ dont nous par.
lions tout à l'heure a baissé son prix ce qui est un
peu désagréable pour les journaux concurrens; ne la
confondez pas avec la Sylphide de l'Opéra, s'il vous
plaît. Cele-ci n'est plus cotée.

jJlOl»..... ..........

................

'"ù datent desie

Le Gérant, léopoed pannier " i)l,netnenS
-:-■- ^__ -3888S>-

L'été est fini, avec lui les jolies promenades dans lesbeai
Champs-Elysées, qui donnent tant de mondp =,

tout particulièrement à la bonne société, qui a l'habitude de le * Rritisli and foreign
visiter pour les repas et les noces. Un beau service est disnosé ": L,.rt strand.
pour cela. :

Paris est trop grand, tout y est confondu. Cependant le Ba-
zar provençal, boulevard delà Madeleine, 13 (Cité Vindé, fon-
dé et dirigé par M. Aymès,de Marseille, s'est élevé à une'hau-
teur telle qu'on le découvre de tous les côtés. Si donc nous en
parlons aujourd'hui, ce n'est plus pour vanter le choix et la
pureté de ses denrées, mais seulement pour informer nos lec-
teurs que cette maison s'est surpassée cette année, ce que nous
n'aurions pas cru possible, nous qui y avons admiré les années
précédentes tant de milliers d'objets si parfaits deformeetde
travail. Pour que la province puisse s'en procurer avant le jour
de l'an, l'exposition a commencé le 5 de ce mois. Une surprise
attend les amateurs, et bien des gens sont curieux de savoir
de quoi il s'agit ; mais c'est un mystère qu'il ne nous est pas ,„ tnifiEVEUJ) f f
permis encore de dévoiler. Tout ce que nous pouvons dire, Il PUnlsIJI» ulï
c'est qu'où y trouvera réunies les productions du Nord et celles
du Midi, tout ce que les colonies nous envoient de plus rare
et tout ce que Paris fabrique de plus distingué. Si, comme l'a ^WMça. 1
dit un poète : w v|m Rouer

L'ennui naquit un jour dal'uniformité, ] >jtf$rk^ litutio

(au Bazar) Tant d'objets variés font naître la gaité. ^^^OTVV1 Q [[

LE FOU Dïï PALAIS-ROYAL.ÏÏg; {tW**^

édition entièrement revue par l'auteur, expose, sous forme * avec S

d'entretiens et de discussions animées, les principaux points nii'il pst si rare (

de la Théorie phalansténenne. Toutes les objections faites à la 'fclHullc '

doctrine deFouriery sont passées en revue. C'est un de ces iié! Hors les cas ne

livres de fantaisie où la science ne se montré qu'à la dérobée, L 0ù [gg titulaires

où un apparent pêle mêle sert de voile à la méthode, où la va- ■ r i i •

riété des formes déguise l'aspérité du fond. —La lre édition 'iiela justice, le ri C

in-8°aété rapidement écoulée. La 2e édition, contenant 400 fume le juste d'iloi

pages compactes format Charpentier, se vend 4 fr. — A la Li- , „n„vprnpir «o<

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vres, une manufacture ou il emploie un grand nombre d'ouvriers pour la fabrication de tout ce qui a rapport à cette impor-
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