able
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tun-
Jeunes
IUrra être
P^sonue
enient
dét
•’aque
‘eu de ^
» gourant
lrte paille
«tes,
peut
1 Animal
r est sûr
s donner
ointes de
'crculeuxl
lu facteur
te., etc.
candidats
il?
rantes sur
estes em-
ralt volon-
quittait en
!... Pour le
la retraite,
t été tran-
3 éliminer.
louze pieds
les coupez-
lement X-
... des vers
ies preten-
ait gémir la
tuné mari
même!
[ûlliens.
)S
I ,
v*»
U
m
7 m
VJ
r %
IL
— Encore dix jours à sourire aux locataire
— Moi, je ne pourrai jamais rester pol
jusque-là.
i—Co < F p
T RM P ARA NT UN PLAN DE DEFENSE
— Que donner aux Rabourdin?
— T’es bête !... Des truffes1.*. Ils seront
obligés de nous inviter.
I|
■N
a
>làur
rouge
n
h
— Nous avons des clients qui se font
tondre pour n’avoir pas à venir dans la
semaine des étrennes... Je ne dis pas ça TT .
pour monsieur ! — Heureusement que je suis une
femme d’ordre!... Avec les bon-
bons de chez l’épicier et mes sacs
de l’année dernière!...
■ jMWwX
[ J j! /i O 'To i Ifc Trj
Pa IJ 0 ( J VG
— Moi, j'ai un truc; je flanque tous mes artistes à
l’amende pendant le mois de décembre. Vli... vlan!
— Et puis?
— Et puis, le 1er janvier, comme cadeau, je leur
en remets le montant.
— Alors, ta femme telaisse
sortir?
— Tous les soirs... Je lui
dis que je vais voir les ma-
gasins... Elle croit que c’est
pour lui choisir un cadeau !
Oa/lcWqNS
— Entre nous... c’est pour ma maîtresse. .
— Eh bien, soixante-quinze francs... C’est pour rien... Et vous lui
direz que je lui reprendrai l’objet pour quinze francs quand elle voudra!
fr
'lu U
Q
CHEZ LE MIN.STRE
i
— —J’ai annoncé partout que vous m’aviez pro-
, - Encore dix jours, et il faudra que ^ G^scon^'’ V°US " • V0UdriezPas Passer Pour _ Ah ! tu n
1 embrasse ma belle-mère! — Peuh !... On sait que je le suis 1 ton compliment pour ton père!...
Vlan!...
LES VICTIMES
c veux pas apprendre — Ali! tu ne veux pas apprendre ton
compliment pour ta mère!... Tiens!
14^°
lions-
fforts
[vers
zaifl6
AT-
d‘û»
aheS'
n il est ^
in’ ne ^
,èe ,eno»s
J“î rél'u're
de re qjie
réJ
ose*
•iatio®8
0
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'C*"'
vinôt^0 a neuf c.ent quatre-vingt-dix-sept francs
timpi Ce?^mes» et j’ai oublié le cadeau de ma légi—
fond ’” ^ettons ïuillo francs, pour faire un compte
— Je cherche ce que je peux donner à ta tante.
— Ça m’est égal... Des bonbons!
— Elle n’a. plus de dents !
— Alors, off're-lui un râtelier!
— Voyons... Les Durosard... J’y ai dîné une fois
cette année... Mettons quarante sous... Je leur en-
verrai un sac de quatre francs, et ils me redevront
encore un dîner!
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encore un dîner!