S C H W E T 7. I N G E N.
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4oo pieds débouche sur un point de lumière
qui sort d’une roche percée. On s'approche
de maisons, dégroupés d’arbres, de champs
cultivés, de bois épais. Le fond se perd dans
des montagnes bleuâtres , un ciel serein ré-
pand la clarté sur toute la contrée ; il ne faut
plus que franchir un fossé vivifié d’une onde
crystaline, et l’on touche un mur dont la
fresque a produit ce grand effet. Conception
d’un homme du commun, Trunkenmuller, qui
a peint ce morceau sur les dessins de notre
Cobell.
10) Les Oiseaux jels=d’eau.
Autre fantaisie de même goût qui amuse
beaucoup les badauts. Une chouette paroit de
jour et se voit poursuivie d’une infinité d’oi-
seaux de toute espèce. Tel est le sujet de ce
morceau. L’oiseau ennemi de la lumière est
huche sur le milieu d’un bassin oval envi-
ronné d’une ballustrade. Tout autour sont
perchés, ou semblent lui courir sus des paons,
des poules, des dindons, et toute la variété
de la gent volatile. Le cercle fermé de toutes
parts répand par le bec des amis ligués con-
tre l’ennemi commun des torrens d’eaux, aux-
quels trop intimidé par le nombre, et ébloui
de l’éclat du jour, il ne peut se soustraire.
Les volières pratiquées dans le pourtour, et
de petits cabinets en rocailles répondent a ce
genre d’agrément. C’est à la Malgrange que
Stanislas avoit placé cette scène.
11) Le temple de la Botanique forestière.
C’est un tronc de chêne colossal , coupé
dans tout son diamètre, creusé dans toute sa
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4oo pieds débouche sur un point de lumière
qui sort d’une roche percée. On s'approche
de maisons, dégroupés d’arbres, de champs
cultivés, de bois épais. Le fond se perd dans
des montagnes bleuâtres , un ciel serein ré-
pand la clarté sur toute la contrée ; il ne faut
plus que franchir un fossé vivifié d’une onde
crystaline, et l’on touche un mur dont la
fresque a produit ce grand effet. Conception
d’un homme du commun, Trunkenmuller, qui
a peint ce morceau sur les dessins de notre
Cobell.
10) Les Oiseaux jels=d’eau.
Autre fantaisie de même goût qui amuse
beaucoup les badauts. Une chouette paroit de
jour et se voit poursuivie d’une infinité d’oi-
seaux de toute espèce. Tel est le sujet de ce
morceau. L’oiseau ennemi de la lumière est
huche sur le milieu d’un bassin oval envi-
ronné d’une ballustrade. Tout autour sont
perchés, ou semblent lui courir sus des paons,
des poules, des dindons, et toute la variété
de la gent volatile. Le cercle fermé de toutes
parts répand par le bec des amis ligués con-
tre l’ennemi commun des torrens d’eaux, aux-
quels trop intimidé par le nombre, et ébloui
de l’éclat du jour, il ne peut se soustraire.
Les volières pratiquées dans le pourtour, et
de petits cabinets en rocailles répondent a ce
genre d’agrément. C’est à la Malgrange que
Stanislas avoit placé cette scène.
11) Le temple de la Botanique forestière.
C’est un tronc de chêne colossal , coupé
dans tout son diamètre, creusé dans toute sa