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que Cérès ; mais vl ne paroit pas que ce soit le
vrai sens de cet auteur qui les distuîgue tornïeUe-,
ment. Aul. Gel. liv. is. ch. ai.
PANDARE , sils de Lycaon, £ut un de ceux qui
àllerentau secours des ïroyens contre les Grecs :
ïl fut tué par Diomede.
II y eut un autre Pandare , qui suivit Enée, et
sut tué par Turnus.
PANDARÉE, Ephésien. Cérès lui avoit accordé
le pouvoir de manger tant qu’il voudroit , sans
être jamais incommodé. II étoit pere d’Aédon,
Voye\ Aédon.
PANDEME, c’est-à-dire, Populaire > surnom de
Vénus : on appeloit aussi Pandemes , des jours
pendantlesquels on servoit pubüquement des fes-
tins aux morts.
PANDION, fils d’Erechtée, roi d’Athenes, pere
de Progné et de Philomele , dont les malheurs lui
causerent tant de chagrin , qu’il en mourut.
PANDORE. C’étoit une statue que Vulcain fit,
<t qu’il anima. Les dieux s’assemblerent pour
la rendre parfaite , en lui donnant chacun une
perfection. Vénus lui donna la beauté , Pallas
la sagesse , Mercure l’éloquence , etc. Jupiter
irrite contre Prométhée , qui avoit dérobé le seu
du ciel pour animer les premiers hommes , en-
voya Pandore sur la terre avec une boîte ou tous
les maux étoîent renfermés. On dit que Pro-
méthée , à qui elle présenta cette boîte , l’ayant
refusée , elle la donna à Epiméthée , qui eut
l’indiscrétion de l’ouvrir , et que ’de cette boîte
sortirent tous ensemble les m«ux qui inonderent
toute la terre. II ne resta que la seule espérance
dans le fond.
Pandoreétoit aussi le notn d’une fille d’Erecthée.
PANDROSE. Vvye\ Aglaure.
PANELLENIUS ou PANHELLENIUS. Jupiter
étoit adoré sous ce nom , comme le dieu tutélaire
de toutô la Grec« ; de-Ià les fétes Panhellénies.
que Cérès ; mais vl ne paroit pas que ce soit le
vrai sens de cet auteur qui les distuîgue tornïeUe-,
ment. Aul. Gel. liv. is. ch. ai.
PANDARE , sils de Lycaon, £ut un de ceux qui
àllerentau secours des ïroyens contre les Grecs :
ïl fut tué par Diomede.
II y eut un autre Pandare , qui suivit Enée, et
sut tué par Turnus.
PANDARÉE, Ephésien. Cérès lui avoit accordé
le pouvoir de manger tant qu’il voudroit , sans
être jamais incommodé. II étoit pere d’Aédon,
Voye\ Aédon.
PANDEME, c’est-à-dire, Populaire > surnom de
Vénus : on appeloit aussi Pandemes , des jours
pendantlesquels on servoit pubüquement des fes-
tins aux morts.
PANDION, fils d’Erechtée, roi d’Athenes, pere
de Progné et de Philomele , dont les malheurs lui
causerent tant de chagrin , qu’il en mourut.
PANDORE. C’étoit une statue que Vulcain fit,
<t qu’il anima. Les dieux s’assemblerent pour
la rendre parfaite , en lui donnant chacun une
perfection. Vénus lui donna la beauté , Pallas
la sagesse , Mercure l’éloquence , etc. Jupiter
irrite contre Prométhée , qui avoit dérobé le seu
du ciel pour animer les premiers hommes , en-
voya Pandore sur la terre avec une boîte ou tous
les maux étoîent renfermés. On dit que Pro-
méthée , à qui elle présenta cette boîte , l’ayant
refusée , elle la donna à Epiméthée , qui eut
l’indiscrétion de l’ouvrir , et que ’de cette boîte
sortirent tous ensemble les m«ux qui inonderent
toute la terre. II ne resta que la seule espérance
dans le fond.
Pandoreétoit aussi le notn d’une fille d’Erecthée.
PANDROSE. Vvye\ Aglaure.
PANELLENIUS ou PANHELLENIUS. Jupiter
étoit adoré sous ce nom , comme le dieu tutélaire
de toutô la Grec« ; de-Ià les fétes Panhellénies.