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Cook, Arthur B.
Zeus: a study in ancient religion (Band 2,1): Zeus god of the dark sky (thunder and lightning): Text and notes — Cambridge, 1925

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https://doi.org/10.11588/diglit.14696#0229

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174 The Delphic Omphalos

well have occupied a corresponding position in the south aisle1.
F. Courby2 by a consideration of the tasks assigned to the various
builders has made it probable that the omphalos in fact adjoined
the southern rather than the northern wall of the temple3. Further,
by a careful examination of the ruins as photographed in 18944
he shows that in the fourth century B.C. a side-chapel (2-90m broad
inside by 5'40™ deep) actually stood against the southern wall of
the nadSy close to its western end, thereby interrupting the inner
line of Ionic columns5. Finally, in September 1913, buried in
the made earth beneath this chapel he found the omphalos itself
(pi. ix)6. It is a rough block of limestone, once coated with

1 H. Pomtow in Philologits 1912 lxxi. 61, 68 ff. fig.

- F. Courby in the Comptes rendus de VAcad. des iuscr. et belles-lettres 1914 pp. 263,
266, and in the Fouilles de Delphes ii. r. 76.

3 Pankrates was at work on the walls of the opisthodomos and on the eastern end of
the north wall of the naos {Bull. Corr. Hell. 1902 xxvi. 65 col. iii a line 10 ff.). Theu-
phantos and Sion placed two angle-triglyphs in the pronaos, worked at the walls round
the omphalos, and saw to the western end of the south wall of the naos (Id. 1902 xxvi. 64
col. ii b line 5 ff., 65 col. iii a line iff.). ' Si les taches,' says Courby, 'n'ont pas ete dis-
tributes au hasard entre les entrepreneurs et si, comme il faut bien l'admettre, quelque
preoccupation de logique et de bon ordre a preside a leur repartition, on supposera que
Pankrates ayant opere au Nord, Theuphantos et Sion operaient au Sud, et c'est done de
ce cote qu'on replacera l'omphalos' (Comptes rendus etc. 1914 pp. 263, 266, cp. Fouilles
de Delphes ii. 1. 76).

4 The foundations of the inner colonnade, insufficiently filled in, have since given way.

5 Courby Comptes rendus etc. 1914 p. 266: ' Au Sud, sur une longueur de 3111 96 a
partir du mur ouest, couraient deux assises de blocs en calcaire, rigoureusement symetri-
ques a celles du soubassement nord, et qui portaient, a n'en pas douter, un troncon de la
colonnade sud. En ce point, le soubassement est interrompu par une batisse en encoig-
nure avec des restes d'un mur applique contre le cote sud de la cella, et d'un autre mur
perpendiculaire au premier. Un examen attentif des details que donnent les photo-
graphies \ib. p. 264 fig. 1, p. 265 fig. 2] prouve que cette batisse est, sinontout a fait con-
temporaine du temple, du moins bien anterieure a notre ere.' See further Courby in the
Fouilles de Delphes ii. 1. 47—69 (' Le fond de la cella') with figs. 45—61 and pis. 3, 4,
F. Poulsen Delphi trans. G. C. Richards London 1920 p. 150 f.

6 Courby Comptes rendus etc. 1914 p. 267 f. fig. 3. Id. in the Fouilles de Delphesxx. 1.
76ft'. figs. 64 (=mypl. ix), 65, 66, 67, 68 ( = my fig. 119), 69 : 'En septembre 1913, un
sondage pratique contre le mur Sud de la cella au pied des blocs a, (3, /3' (pi. Ill, et fig. 47,
48, 49), dans le renfoncement inferieur de la fondation, fit apparaitre un petit monument
de poros en forme d'omphalos qui reposait debout, contre le parement, sur le remblai
provenant des fouilles (fig. 64, 65, 66, 67). II mesure om 385 de diametre et om 287 de
hauteur (fig. 68). Le travail en est assez grossier ; les coups de ciseau du ravalement en
sillonnent par endroits la surface. On apercoit encore 5a et la des debris d'un stuc
analogue a celui qui recouvrait le poros du temple au ive siecle. Dans un canal de section
rectangulaire qui le traverse de haut en bas penetre, jusqu'a om 105 du bas, une tige de
fer plate, tranchante d'un bord, a profil recourbe de ce cote et termine en pointe, qui a
toutes les apparences d'une lame de couteau (fig. 68) : deux clous (fig. 69) enfonces en
arriere assujettissaient solidement cette lame. On peut reconstituer ainsi ce qui s'est pro-
duit. La cavite recevait une tige (de bois, sans doute, puisqu'il n'y en a plus trace) qu'on
a calee, plus tard, d'une maniere assez primitive et par des procedes de fortune. A om 18
environ du bas court une inscription archaique profondement gravee, oil Ton reconnait
 
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