L A RT ET LA NATU RE
Fable Alle'goncjue
^Art et fifibere, etv méstntd/iegerice
bDeptus (otug ternps£wpenent les mesmes heuex.;
éfit de revoir ce Couple p rncieuc<—
Efiieiv retînt plus n'estoit d'Ûperance ..
Jja attire vendentconserver tou# ses droit#;
£éfirt prétendait donner de# lotx;
CSoùtre acceesçru.é iei/t e/'un peu trop de parure;
£fi£rt i vp nuit oit à la: CA'attire
X)n peu trop de simplicité.
EPeirhint chacun, de son, existe
finn/oibewotr 'raison; chacun, lavent peu tesli e
S ature perd à. trop parenstre ;
£fi£rt ne se cache pas assez..
tfiielécc der, lefi/duv- estlmpentante :
düesplus experts seraient emlanuss&z.
ét- l'art a fies Soeautez, 1er &Vaùitv est charmante.
X)n jour enfin., sur- un S8ord écdrtez
Sfios deux fidroaiéc se rencontrèrent;
SEji silence, tüv moment.,d'abord ils s'observèrent-.
Stéaturc. septaipmt, avec sincérité;
£fi£rb eut recours ce 1,'fir V7U&/
£,t répondit par çjuélejue# traits malins ;
Chacun avec chaleur, sautaient sa menue :
fils aliènent, eh. venir aux nuuns .
'Walteceilx. peu ùfçeleiben d d les sépare ;
'Watteauœ.'.de. tous deux respecte,
, filet ti/almien t écoute :v—-—^ ^
Quelle^ fi urùr; dit-il,de ■vos âmes s'empare!
c. fimis l calmez, cette fiureicité;
Que /votre uitérést vous rassemble :
fichez chez-rnen/^ /aire- ta-peux ;
fioles- estes /dite pener estrr ensemble ;
fie veux vous unir a.Jiirruus .
Charmant Matteaux- fia paix^fiifi farte ;
fiElvos aoiS' fiirefit genïtez. :
£fiéLrby gagna nulle- beau ter ;
£t [cl Stature en parut plus parfaite'.
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