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lées.qui sc marchande par toises cubes , Se dont le pris se
règle sélon la qualité de la terre & la distance qu'il y a de
la Fouille au lieu où elles doivent estre poitées. On dit aussi
Vuidange de Fojfc d'Aisunce. p. 550.
Vuidange d'eau ; c'est l'étanche qui se fait de Veart d'un
Bastardeau , parle moyen de moulins, chapelets, visd'Ar-
chimede& autres machines, pour le mettre à sec & y pou.
voir fonder.
Vuidange de sqrest ; c'eft l'enlèvement des bois abbatus
dans une Ftrefl, qui doit estre incesTamment fait par les
Marchands, à qui la coupe en a été adjugée.
VULDE. Terme dont on sesertpour sîgnifier une ouverture
ou une Baye dans un mur , comme lorsqu'on dit que les
Vuides d'un Mur de face, ne sont pas égaux aux pleins,
c'est-â dire, que ses Bayes sont, ou moindres ou plus lar-
ges que les Trumeaux ou Massifs. Essacertant plein quevui-
de; c'est peupler de solives un Plancher, ensorte que les
entrevoux soient de même largeur que les solives. On dit
ausfi que les Trumeaux sont espact-z, tant plein que vuide,
lorsqu'ils sont de la largeur des Croisées. Peujser ou Tirer
au vuide, c'est-à-dire deverser, & sortir hors de son
aplomb.PI. yp. 11.88. 137- & 140.
Vuides; ce sont dans les Massifs de Maçonnerie trop épais,
des chambrettes ou cavitez pratiquées autant pour épar ■
gner la dépense de la matière , que pourrendre la charge
moins pelante, comme on en voit dans le Mur circulaire
du Panthéon à Rome, &j»ux Arcs de Triomphe- /• 343.
X
XYSTE ; c'étoit chez les Grecs un Portique d'une grande
longueur, couverr ou découvert, où les Athlètes s'exer-
çoient à la Lutte ou à la Course.Ce mot vient du Grec Xy-
stas dérivé de Xyem , polir ; parce que les Athlètes avoient
lées.qui sc marchande par toises cubes , Se dont le pris se
règle sélon la qualité de la terre & la distance qu'il y a de
la Fouille au lieu où elles doivent estre poitées. On dit aussi
Vuidange de Fojfc d'Aisunce. p. 550.
Vuidange d'eau ; c'est l'étanche qui se fait de Veart d'un
Bastardeau , parle moyen de moulins, chapelets, visd'Ar-
chimede& autres machines, pour le mettre à sec & y pou.
voir fonder.
Vuidange de sqrest ; c'eft l'enlèvement des bois abbatus
dans une Ftrefl, qui doit estre incesTamment fait par les
Marchands, à qui la coupe en a été adjugée.
VULDE. Terme dont on sesertpour sîgnifier une ouverture
ou une Baye dans un mur , comme lorsqu'on dit que les
Vuides d'un Mur de face, ne sont pas égaux aux pleins,
c'est-â dire, que ses Bayes sont, ou moindres ou plus lar-
ges que les Trumeaux ou Massifs. Essacertant plein quevui-
de; c'est peupler de solives un Plancher, ensorte que les
entrevoux soient de même largeur que les solives. On dit
ausfi que les Trumeaux sont espact-z, tant plein que vuide,
lorsqu'ils sont de la largeur des Croisées. Peujser ou Tirer
au vuide, c'est-à-dire deverser, & sortir hors de son
aplomb.PI. yp. 11.88. 137- & 140.
Vuides; ce sont dans les Massifs de Maçonnerie trop épais,
des chambrettes ou cavitez pratiquées autant pour épar ■
gner la dépense de la matière , que pourrendre la charge
moins pelante, comme on en voit dans le Mur circulaire
du Panthéon à Rome, &j»ux Arcs de Triomphe- /• 343.
X
XYSTE ; c'étoit chez les Grecs un Portique d'une grande
longueur, couverr ou découvert, où les Athlètes s'exer-
çoient à la Lutte ou à la Course.Ce mot vient du Grec Xy-
stas dérivé de Xyem , polir ; parce que les Athlètes avoient