Flamands, Allemands & Hollandais. 41 3
iront dans cet Ouvrage. L’aîné Samuel qui a
écrit fur la Peinture > page 107, dans i’Introdu-
étion de Y Ecole de la Peinture, dit , en parlant
de ion pere, 33 qu’il imitoit la nature avec une
33 grande intelligence & bien de la vérité. 33 Les
Ouvrages de ce Peintre ne nous font pas affez
connus pour en dire davantage.
JACQUES
FRANQUAERT.
CE Peintre favant a fait honneur à la Vill©
de Bruxelles, lieu de fa naiffance. Dès fort
enfance on le vit briller dans fes études latines ,
travail pénible pour les enfants, & qui ne leur laifTe
aucun vuide. Franquaertkul, croyoit avoir bien
du temps de refie, après avoir rempli les devoirs
prefcrits par fes Maîtres. Le temps dont il pou-
voit difpofer, foit pour le jeu ou pour la prome-
nade , il l’employa aux Sciences les plus abflraites.
Les Mathématiques qu’il entendoit déjà fort bien ?
le conduifirent à en chercher l’application : Il ap-
prit de lui-même l’Architeélure.
Infenfiblement il obtint un Maître de Deffein,
& alors il reconnut le talent qui devoit un jour
l’élever aux plus grands, honneurs. Le jeune Eleve
intérelfafon Maître qui le vit avancer à grands pas.
Il refia peu dans cette Ecole ( dont le Maître ne
nous eft pas connu ) & prit la route d’Italie. C’efl
dans Home ou il fe forma 3 il y étudioit avec le
mêm®.
iront dans cet Ouvrage. L’aîné Samuel qui a
écrit fur la Peinture > page 107, dans i’Introdu-
étion de Y Ecole de la Peinture, dit , en parlant
de ion pere, 33 qu’il imitoit la nature avec une
33 grande intelligence & bien de la vérité. 33 Les
Ouvrages de ce Peintre ne nous font pas affez
connus pour en dire davantage.
JACQUES
FRANQUAERT.
CE Peintre favant a fait honneur à la Vill©
de Bruxelles, lieu de fa naiffance. Dès fort
enfance on le vit briller dans fes études latines ,
travail pénible pour les enfants, & qui ne leur laifTe
aucun vuide. Franquaertkul, croyoit avoir bien
du temps de refie, après avoir rempli les devoirs
prefcrits par fes Maîtres. Le temps dont il pou-
voit difpofer, foit pour le jeu ou pour la prome-
nade , il l’employa aux Sciences les plus abflraites.
Les Mathématiques qu’il entendoit déjà fort bien ?
le conduifirent à en chercher l’application : Il ap-
prit de lui-même l’Architeélure.
Infenfiblement il obtint un Maître de Deffein,
& alors il reconnut le talent qui devoit un jour
l’élever aux plus grands, honneurs. Le jeune Eleve
intérelfafon Maître qui le vit avancer à grands pas.
Il refia peu dans cette Ecole ( dont le Maître ne
nous eft pas connu ) & prit la route d’Italie. C’efl
dans Home ou il fe forma 3 il y étudioit avec le
mêm®.