« ? « 4

__ 111 La Vig des 'Peintres, &c.

I 6jVj. année, ricûe , confidéré de regretté de tout le
WJ' monde.

La plupart de Tes Ouvrages font en Italie,
de fort rares même dans fa Patrie : je n’en ai vu
que trois, mais qui font peints d’une maniéré
différente, de qui fuffifent à donner une grande
idée de l’étendue de fes talents : l’un eft un Pcce
Homo j entièrement dans le goût de Tandy ck ;
l’autre un Portrait d’une couleur très-vigoü-
goureufe, mais peint li large, de avec tant de
facilité, qu’il paroît l’Ouvrage d’un feul jour ;
le troifieme eft un Portrait de Femme', orné
de vafes de fleurs de de fruits, de foigneufement
terminé, «Sec.

En général fon deffein m’a paru fin de cor-
reét , fa couleur pâteufe de fiere. Sa maniéré
tient plus de l’Ecole de Rome que de celle
d’Hollande,

DAVID