DOI issue:
No. 1 (1er octobre 1925)
DOI Page / Citation link: https://doi.org/10.11588/diglit.43076#0015
COURS C
Emploi décoratif de la potentille.
La potentille, de la famille des rosacées, ap-
partient au genre des plantes herbacées qui
comprend environ deux cents espèces diverses
et que l’on rencontre dans les régions tempé-
rées et froides de l’hémisphère nord.
La fleur est for-
mée de quatre ou cinq
pétales insérés dans le
calice ; les étamines se
trouvent en nombre in-
défini.
Les fleurs sont blan-
ches ou jaunes et rare-
ment rouges.
Les feuilles sont com-
posées.
La potentille fleurit
aux premiers jours du
printemps dans les ré-
gions des Pyrénées et
des Alpes.
La potentille ram-
pante, qui croît dans
les terrains humides,
est employée en méde-
cine ; la potentille an-
sérine ou argentine
possède, comme la pré-
cédente, des propriétés u
astringentes et toni- v
ques. On emploie cette
plante en infusions
pour gargarismes.
Symbolisme. Mé-
lancolie.
Une légère moulure en relief (en repoussé),
entoui'era la composition.
Fig. 4. — Une coupe en verre ou en terre
cuite décorée de libellules en métal repoussé.
Fig. 5. — Une épingle en métal ou en corne.
Fig. 6. —- Un coussin brodé ou peint.
Dessiner les tiges dans leur mouvement gé-
APPLICÂTIONS DÉCORATIVES.
Fig. 1.—La plante d’après nature.
Fig. 2. —La fleur et la feuille stylisées.
Fig. 3. —Un couvercle de boîte en métal re-
poussé.
Dessiner la forme rectangulaire du couvercle
puis tracer les circonférences qui enferment la
libellule. Indiquer sommairement les tiges et
l’enveloppe géométrique des feuilles, puis tra-
cer les circonférences cpii limitent les fleurs.
Corriger cette esquisse et harmoniser les divers
éléments de la composition puis dessiner les dé-
tails.
néral puis masser les feuilles et les fleurs. —
Dessiner les détails et la libellule.
Eviter les mouvements parallèles des feuilles
et les tiges. Les feuilles couperont les tiges
normalement à leur courbe, autant (pie possible.
Fig. 7. —- Motif pour peinture sur étoffe. On
répétera le motif à droite de l’axe, en le ren-
versant pour obtenir la symétrie.
Tracer l’axe de la composition puis dessiner
les tiges. Tracer la courbe selon laquelle seront
leurs grandes lignes. Examiner si les pleins et
les vides forment un ensemble harmonieux et si
la composition reste claire et lisible. Dessiner
les détails.
Il
Emploi décoratif de la potentille.
La potentille, de la famille des rosacées, ap-
partient au genre des plantes herbacées qui
comprend environ deux cents espèces diverses
et que l’on rencontre dans les régions tempé-
rées et froides de l’hémisphère nord.
La fleur est for-
mée de quatre ou cinq
pétales insérés dans le
calice ; les étamines se
trouvent en nombre in-
défini.
Les fleurs sont blan-
ches ou jaunes et rare-
ment rouges.
Les feuilles sont com-
posées.
La potentille fleurit
aux premiers jours du
printemps dans les ré-
gions des Pyrénées et
des Alpes.
La potentille ram-
pante, qui croît dans
les terrains humides,
est employée en méde-
cine ; la potentille an-
sérine ou argentine
possède, comme la pré-
cédente, des propriétés u
astringentes et toni- v
ques. On emploie cette
plante en infusions
pour gargarismes.
Symbolisme. Mé-
lancolie.
Une légère moulure en relief (en repoussé),
entoui'era la composition.
Fig. 4. — Une coupe en verre ou en terre
cuite décorée de libellules en métal repoussé.
Fig. 5. — Une épingle en métal ou en corne.
Fig. 6. —- Un coussin brodé ou peint.
Dessiner les tiges dans leur mouvement gé-
APPLICÂTIONS DÉCORATIVES.
Fig. 1.—La plante d’après nature.
Fig. 2. —La fleur et la feuille stylisées.
Fig. 3. —Un couvercle de boîte en métal re-
poussé.
Dessiner la forme rectangulaire du couvercle
puis tracer les circonférences qui enferment la
libellule. Indiquer sommairement les tiges et
l’enveloppe géométrique des feuilles, puis tra-
cer les circonférences cpii limitent les fleurs.
Corriger cette esquisse et harmoniser les divers
éléments de la composition puis dessiner les dé-
tails.
néral puis masser les feuilles et les fleurs. —
Dessiner les détails et la libellule.
Eviter les mouvements parallèles des feuilles
et les tiges. Les feuilles couperont les tiges
normalement à leur courbe, autant (pie possible.
Fig. 7. —- Motif pour peinture sur étoffe. On
répétera le motif à droite de l’axe, en le ren-
versant pour obtenir la symétrie.
Tracer l’axe de la composition puis dessiner
les tiges. Tracer la courbe selon laquelle seront
leurs grandes lignes. Examiner si les pleins et
les vides forment un ensemble harmonieux et si
la composition reste claire et lisible. Dessiner
les détails.
Il