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Le dessin à l'école et dans la famille: revue d'éducation esthétique — 4.1925/​1926

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No. 3 (1er décembre 1925)
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https://doi.org/10.11588/diglit.43076#0066
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conférence qui marque le vide dans lequel sera
placée une photographie.
Dessiner la tige qui part du bas du cadre et
remonte, en s’incurvant, vers le sommet. Es-
quisser les feuilles ; équilibrer les masses et des-
siner les redents des feuilles et les échancrures.
Fig. 5. — Une frise.
Tracer les bordures supérieure et inférieure
qui limitent la hauteur de la frise. Dessiner la
circonférence que l’on décorera de fleurs. Tra-
cer la tige qui enveloppe cette circonférence et

masser les feuilles et la fleur. Placer une feuille,
verticalement, et à sa gauche répéter le motif
déjà esquissé : cercle et branchette. Dessiner
les redents et échancrures.
Coloration. Fond : ocre jaune ou violet.
Feuilles : vert, vert clair.
Fleurs : rose ou blanc.
Intérieur du cercle : ocre rouge. ^
Couronne : bleu verdâtre,
ou ocre jaune.

BREVET ÉLÉMENTAIRE
ASPIRANTS

Une malle.
Description. — La malle est une sorte de
coffre qu’on utilise pour les voyages. Ses dimen-
sions varient, mais elle doit demeurer transpor-
table. La malle est généralement divisée en
deux parties dans sa hauteur. Une planchette
mobile reposant sur des tasseaux constitue cette
division et permet une inspection plus commode
et plus rapide du contenu de la malle. De plus
cette planchette prévient l’écrasement des ob-


lattes en bois qui l’entourent complètement et
empêchent le frottement du fond du coffre sur
le sol et préviennent ainsi sa détérioration.
Manière de dessiner.
Après avoir tracé la ligne de terre et l’axe
vertical, on dessinera l’élévation (vue de face)
puis le plan. Afin de ne pas multiplier les lignes
pointillées on n’abaissera des verticales que des
points principaux de l’élévation et nécessaires
au plan. On dessinera ensuite la coupe.
Un détail à une échelle plus grande
donnera les formes exactes de l’emboî-
ture du couvercle sur le coffre.

jets placés au fond de la malle ou au-dessus de
la planchette.
Un couvercle à emboîtement ferme le coffre ;
ce couvercle est retenu en arrière par deux char-
nières et en avant par une patte articulée en
métal qui s’adapte à une serrure ou à quelque
crochet permettant une fermeture au cadenas.
La malle est renforcée, extérieurement, par des

ASPIRANTES
Perspective d’une malle (coffre).
Ce coffre diffère de la malle dont
nous donnons les proportions, ci-des-
sus; les montants m n, qui renforcent
le coffre aussi bien cpie la malle s’ar-
rêtent ici à la naissance du couvercle.
De plus le couvercle se pose sur le
coffre, à plat sans emboîtement.
Tracer la ligne de base et la ligne
d’horizon h h'.
la base en A, placer l’angle du coffre et
mener les fuyantes vers les points de fuite. On
trouve ces fuyantes en menant, du point A, des
parallèles aux côtés du coffre que l’on observe.
Ces fuyantes rencontrent la ligne d’horizon aux
points de fuite vers lesquels convergent les
lignes des côtés visibles du coffre. Porter de A
en B la longueur du coffre, et de B tracer une

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