male à la tige. Les axes des feuilles seront donc
perpendiculaires à la tige autant que possible.
Fig, 5. — Une épingle à chapeau en métal
repoussé.
Fig. 5. — Une vasque en verre décorée au
vernis gras sans cuisson. Ces vernis s’appli-
quent sur le verre ; on laisse sécher ; on entoure
ensuite le décor d’un filet noir ou brun foncé.
Le vernis existe dans un grand nombre de
teintes.
Fig. 6. — Une frise pour peinture déco-
rative.
On dessinera l’enroulement de la tige ; on
marquera la place des fleurs et l’on dessinera les
feuilles. Comme les feuilles sont d’un ton clair,
on les groupera d’une manière intéressante sans
les éparpiller.
Fig. 7. — Même motif et même remarques.
Coloration. Fond : ocre jaune foncée ou
violet clair.
Feuilles : vert en deux tons. On pose le ton
général de la feuille ; on ombre légèrement, au
pochoir, en commençant par 1a. base de la
feuille; on diminue l’intensité du ton à mesure
que l’on approche de la pointe de la feuille.
On trace les nervures en vigueur, avec un ton
moyen de terre de Sienne brûlée. Si la frise est
assez importante il est utile de cerner les feuilles
d’un filet mince de terre de Sienne brûlée.
Fleurs : jaune d’or clair ou blanc.
POUR LES GRANDES SŒURS
I/étain repoussé
est en vogue pour le
moment. Voici un
sujet qui convien-
dra. pour boîte à
poudre ; il ne de-
mande qu’un peu
de soins dans l’exé-
cution.
Tracer l’axe ver-
tical entre les oi-
seaux, puis le cercle
selon lequel se cour-
bent les tiges. Des-
siner les oiseaux
puis les feuilles et
les fruits. Il suffit de
dessiner une moitié
du sujet ; un calque
bien exécuté et re-
tourné donnera la
seconde partie de la
composition.
Pour patiner l’étain on le frottera avec un
pinceau chargé d’un mélange de mine de plomb,
d’un peu d’huile et de quelques gouttes du
siccatif qu’on emploie pour la peinture à l’huile,
ou de quelques gouttes de vinaigre. Toutes les
poudres colorées
peuvent remplacer
la mine de plomb.
Cette patine ne ré-
siste pas au tou-
cher.
On obient une
belle patine de l’é-
tain en laissant sé-
journer l’objet dé-
coré dans un vieux
bain d’hyposulfite
de soude qui a servi
à fixer les plaques
photographiques.
Quelques gouttes
d ’acide azotique
ajoutées à une pâte
formée de fleur de
soufre et de tein-
ture d’iode donnent
le: ton vieux fer. On
enduit l’objet, à patiner avec cette pâte ; on
laisse sécher et on donne les clairs en frottant
avec une peau. Cette patine devient plus belle
en vieillissant.
Mte L.
204 —
perpendiculaires à la tige autant que possible.
Fig, 5. — Une épingle à chapeau en métal
repoussé.
Fig. 5. — Une vasque en verre décorée au
vernis gras sans cuisson. Ces vernis s’appli-
quent sur le verre ; on laisse sécher ; on entoure
ensuite le décor d’un filet noir ou brun foncé.
Le vernis existe dans un grand nombre de
teintes.
Fig. 6. — Une frise pour peinture déco-
rative.
On dessinera l’enroulement de la tige ; on
marquera la place des fleurs et l’on dessinera les
feuilles. Comme les feuilles sont d’un ton clair,
on les groupera d’une manière intéressante sans
les éparpiller.
Fig. 7. — Même motif et même remarques.
Coloration. Fond : ocre jaune foncée ou
violet clair.
Feuilles : vert en deux tons. On pose le ton
général de la feuille ; on ombre légèrement, au
pochoir, en commençant par 1a. base de la
feuille; on diminue l’intensité du ton à mesure
que l’on approche de la pointe de la feuille.
On trace les nervures en vigueur, avec un ton
moyen de terre de Sienne brûlée. Si la frise est
assez importante il est utile de cerner les feuilles
d’un filet mince de terre de Sienne brûlée.
Fleurs : jaune d’or clair ou blanc.
POUR LES GRANDES SŒURS
I/étain repoussé
est en vogue pour le
moment. Voici un
sujet qui convien-
dra. pour boîte à
poudre ; il ne de-
mande qu’un peu
de soins dans l’exé-
cution.
Tracer l’axe ver-
tical entre les oi-
seaux, puis le cercle
selon lequel se cour-
bent les tiges. Des-
siner les oiseaux
puis les feuilles et
les fruits. Il suffit de
dessiner une moitié
du sujet ; un calque
bien exécuté et re-
tourné donnera la
seconde partie de la
composition.
Pour patiner l’étain on le frottera avec un
pinceau chargé d’un mélange de mine de plomb,
d’un peu d’huile et de quelques gouttes du
siccatif qu’on emploie pour la peinture à l’huile,
ou de quelques gouttes de vinaigre. Toutes les
poudres colorées
peuvent remplacer
la mine de plomb.
Cette patine ne ré-
siste pas au tou-
cher.
On obient une
belle patine de l’é-
tain en laissant sé-
journer l’objet dé-
coré dans un vieux
bain d’hyposulfite
de soude qui a servi
à fixer les plaques
photographiques.
Quelques gouttes
d ’acide azotique
ajoutées à une pâte
formée de fleur de
soufre et de tein-
ture d’iode donnent
le: ton vieux fer. On
enduit l’objet, à patiner avec cette pâte ; on
laisse sécher et on donne les clairs en frottant
avec une peau. Cette patine devient plus belle
en vieillissant.
Mte L.
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