DOI Heft:
No. 5 (1er février 1927)
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les et des fleurs, exige une bonne disposition des
tenons. Ces tenons contribuent au décor et ac-
centuent le caractère de la feuille si on les mé-
nage avec à propos.
Dans la feuille {fig-) les tenons constitueront
les nervures, de sorte que la peinture ne deman-
dera aucune retouche ni raccord.
La fleur. — On découpera les pétales dans le
papier ; les parties noires correspondront aux
vides du papier. Pour éviter le relèvement des
pointes sous l’action du pinceau on ménagera
des tenons dont l’ensemble constituera une cou-
ronne, selon le croquis. Cette couronne claire
pourra subsister sans nuire à l’effet décoratif.
1 ointes. — Ménager quelques tenons selon le
croquis.
Dans la peinture au pochoir on peut fondre
les tons et produire d’heureux effets de dégra-
dation en usant de deux pinceaux pochoirs.
Ainsi le centz'e de la feuille sera d’abord cou-
vert d’un vert chaud que l’on atténuera légère-
ment en se dirigeant vers le contour. Avec un
autre pinceau chargé de couleur d’un vert plus
clair on peindra le contour en se dirigeant vers
le centre. Des coups légers tapotés au raccord
des deux tons fondra l’une dans l’autre les cou-
leurs et en ménagera la transition. Si le po-
choir est d’une certaine importance on pourra
traiter les fleurs en deux tons de la même ma-
nière.
Les filets qui encadrent le pochoir peuvent
être tracés directement au pinceau.
(A suivre ).
Pour les grandes sœurs
LE CORBEAU
ET LE RENARD
Les coussins restent à la mode ;
ils offrent de particuliers agré-
ments pendant la saison d’hiver.
Nous croyons être agréable à nos
aimables Grandes Sœurs en leur
offrant un modèle qu’elles pour-
ront exécuter en broderie Riche-
lieu. Le coussin pourrait être
garni de satin rose ou mauve d un
ton assez vigoureux qui mettra
en valeur les détails de la bro-
derie.
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tenons. Ces tenons contribuent au décor et ac-
centuent le caractère de la feuille si on les mé-
nage avec à propos.
Dans la feuille {fig-) les tenons constitueront
les nervures, de sorte que la peinture ne deman-
dera aucune retouche ni raccord.
La fleur. — On découpera les pétales dans le
papier ; les parties noires correspondront aux
vides du papier. Pour éviter le relèvement des
pointes sous l’action du pinceau on ménagera
des tenons dont l’ensemble constituera une cou-
ronne, selon le croquis. Cette couronne claire
pourra subsister sans nuire à l’effet décoratif.
1 ointes. — Ménager quelques tenons selon le
croquis.
Dans la peinture au pochoir on peut fondre
les tons et produire d’heureux effets de dégra-
dation en usant de deux pinceaux pochoirs.
Ainsi le centz'e de la feuille sera d’abord cou-
vert d’un vert chaud que l’on atténuera légère-
ment en se dirigeant vers le contour. Avec un
autre pinceau chargé de couleur d’un vert plus
clair on peindra le contour en se dirigeant vers
le centre. Des coups légers tapotés au raccord
des deux tons fondra l’une dans l’autre les cou-
leurs et en ménagera la transition. Si le po-
choir est d’une certaine importance on pourra
traiter les fleurs en deux tons de la même ma-
nière.
Les filets qui encadrent le pochoir peuvent
être tracés directement au pinceau.
(A suivre ).
Pour les grandes sœurs
LE CORBEAU
ET LE RENARD
Les coussins restent à la mode ;
ils offrent de particuliers agré-
ments pendant la saison d’hiver.
Nous croyons être agréable à nos
aimables Grandes Sœurs en leur
offrant un modèle qu’elles pour-
ront exécuter en broderie Riche-
lieu. Le coussin pourrait être
garni de satin rose ou mauve d un
ton assez vigoureux qui mettra
en valeur les détails de la bro-
derie.
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