DOI Heft:
Nos. 11-12 (août-septembre 1927)
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La traverse.
On dessinera ces fleurs et les feuilles.
Ce motif peut être exécuté en broderie au
Porter sa hauteur en r et son épaisseur en s
et fuir aux points de fuite. On obtiendra les
arêtes visibles passant par r s t. Même opé-
ration au pied de droite. On peut aussi des
points s r mener des fuyantes au point de fuite
de droite et l’on trouvera sur le pied de droite
les points s' r' d’où l’on mènera des fuyantes
au point de fuite de gauche.
La contrefiche.
Il s’agit de trouver l’intersection de cette
pièce avec la traverse. Or cettë traverse se
trouve en retrait, vers la droite sur le plan ver-
tical passant par a b' 2. 1. On prendra le mi-
lieu de a b, ligne de base, en o et de o on
mènera une fuyante au point de vue. Elle cou-
pera a b1 en o'. De ce point élever une verticale
jusqu’en o", partie supérieure du banc, et fuir
au point de fuite de droite.
Porter de a en u et de c en v la longueur
qui sépare le point de l’attache supérieure de
la contrefiche au banc et fuir en V. On obtien-
dra les points u' v’ d’où on élèvera des verti-
cales u’ u" et v1 v". De ces points fuir au point
de fuite de gauche. On trouvera x y. Réunir ce
point x à l’intersection de la verticale o'o"
avec la fuyante menée par r.
Porter, sur la ligne de base, de o en m et n
la. largeur de la contrefiche et fuir en V. De
m' n' élever des verticales jusque la fuyante r,
vers la gauche. Des points obtenus mener des
parallèles vers x.
Des fuyantes menées à droite par les points
d’intersection de la contrefiche avec la traverse
r s t donneront l’attache de la deuxième con-
trefiche sur la traverse iJ s'.
Ombrer légèrement et indiquer l’ombre por-
tée sur le sol par les pieds du banc.
TRAVAIL MANUEL.
JEUNES FILLES.
Dessiner une circonférence de douxe centmè-
tres de diamètre et décorer le cercle avec la
fleur et la feuille de géranium. Sur le diamètre
vertical on dessinera une feuille, une fleur et
des boutons. Line circonférence parallèle à la
première, et plus petite, donnera la courbe des
tiges et des feuilles à demi-repliées ainsi que
le centre des fleurs.
point de tige ou en application d’étoffes dé-
coupées. Il conviendra pour une bordure de
rideau, un angle de tapis, etc.
GARÇONS.
UN ABAT-JOUR.
A première vue l’abat-jour paraît devoir se
tracer à l’aide du compas dont l’ouverture se-
rait égale au rayon R. Il faut, au contraire,
dessiner l’abat-jour achevé avec le diamètre
choisi, ce qui donnera un tronc de cône dont
le sommet serait en o. De ce point o pour cen-
tre avec un rayon égal à la génératrice du
cône, décrire un arc de cercle sur lequel on
portera six fois ce rayon de m en n. Du centre
o avec o r pour rayon on tracera le petit cercle
qui donnera l’ouverture supérieure de l’abat-
jour.
Cet abat-jour sera décoré d’un élément floral
au gré de l’exécutant.
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On dessinera ces fleurs et les feuilles.
Ce motif peut être exécuté en broderie au
Porter sa hauteur en r et son épaisseur en s
et fuir aux points de fuite. On obtiendra les
arêtes visibles passant par r s t. Même opé-
ration au pied de droite. On peut aussi des
points s r mener des fuyantes au point de fuite
de droite et l’on trouvera sur le pied de droite
les points s' r' d’où l’on mènera des fuyantes
au point de fuite de gauche.
La contrefiche.
Il s’agit de trouver l’intersection de cette
pièce avec la traverse. Or cettë traverse se
trouve en retrait, vers la droite sur le plan ver-
tical passant par a b' 2. 1. On prendra le mi-
lieu de a b, ligne de base, en o et de o on
mènera une fuyante au point de vue. Elle cou-
pera a b1 en o'. De ce point élever une verticale
jusqu’en o", partie supérieure du banc, et fuir
au point de fuite de droite.
Porter de a en u et de c en v la longueur
qui sépare le point de l’attache supérieure de
la contrefiche au banc et fuir en V. On obtien-
dra les points u' v’ d’où on élèvera des verti-
cales u’ u" et v1 v". De ces points fuir au point
de fuite de gauche. On trouvera x y. Réunir ce
point x à l’intersection de la verticale o'o"
avec la fuyante menée par r.
Porter, sur la ligne de base, de o en m et n
la. largeur de la contrefiche et fuir en V. De
m' n' élever des verticales jusque la fuyante r,
vers la gauche. Des points obtenus mener des
parallèles vers x.
Des fuyantes menées à droite par les points
d’intersection de la contrefiche avec la traverse
r s t donneront l’attache de la deuxième con-
trefiche sur la traverse iJ s'.
Ombrer légèrement et indiquer l’ombre por-
tée sur le sol par les pieds du banc.
TRAVAIL MANUEL.
JEUNES FILLES.
Dessiner une circonférence de douxe centmè-
tres de diamètre et décorer le cercle avec la
fleur et la feuille de géranium. Sur le diamètre
vertical on dessinera une feuille, une fleur et
des boutons. Line circonférence parallèle à la
première, et plus petite, donnera la courbe des
tiges et des feuilles à demi-repliées ainsi que
le centre des fleurs.
point de tige ou en application d’étoffes dé-
coupées. Il conviendra pour une bordure de
rideau, un angle de tapis, etc.
GARÇONS.
UN ABAT-JOUR.
A première vue l’abat-jour paraît devoir se
tracer à l’aide du compas dont l’ouverture se-
rait égale au rayon R. Il faut, au contraire,
dessiner l’abat-jour achevé avec le diamètre
choisi, ce qui donnera un tronc de cône dont
le sommet serait en o. De ce point o pour cen-
tre avec un rayon égal à la génératrice du
cône, décrire un arc de cercle sur lequel on
portera six fois ce rayon de m en n. Du centre
o avec o r pour rayon on tracera le petit cercle
qui donnera l’ouverture supérieure de l’abat-
jour.
Cet abat-jour sera décoré d’un élément floral
au gré de l’exécutant.
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