Brevet élémentaire
ASPIRANTS.
UN FER A REPASSER.
Description.
Le fer à repasser se compose essentiellement
d’une plaque de métal (fonte de fer), polie
avec soin et sur laquelle s’adapte un manche qui
affecte différentes formes. La plaque de métal
prend généralement la forme d’un rectangle et
se termine en pointe à la manière d’une ogive ;
elle est plus ou moins épaisse selon la nature
des travaux à exécuter. Cette disposition per-
met d’atteindre les plis des étoffes à repasser ;
de plus cette pointe, en glissant sur le linge,
l’aplanit graduellement en s’élargissant jusqu’à
ce qu’elle atteigne la dimension complète de
l’appareil. On emploie le fer à repasser lorsqu’il
est suffisamment chaud pour
exercer son action de polis-
sage sans brûler le linge. On
sait que les repasseuses asper-
gent d’eau les objets à re-
passeç dans le but de faciliter
l’action du fer.
Il existe des fers à repasser
électriques d’un emploi facile
et avantageux ; leur usage
supprime les foyers à charbon
et les réchauds à gaz et per-
met un travail ininterrompu
et rapide.
Le fer à repasser est muni
d’une poignée qui le surmonte
et se trouve placée à une hau-
teur suffisante pour un manie-
ment sans danger de brûlure.
Cette poignée est parfois en-
veloppée d’un cylindre en
bois ; cet usage se généralise dans les fers élec-
triques qui n’ont rien à craindre des réchaufds.
Dans notre croquis la poignée est formée d’une
lame de fer arrondie, ce qui rend son manie-
ment plus commode.
On remarquera l’évidement (coupe) pratiqué
sur la face supérieure du fer et qui réduit de
moitié environ, son épaisseur.
Manière de dessiner le fer.
ITacer la ligne de terre puis l’axe vertical
AB et dessiner l’élévation. Des points princi-
paux du manche et de la plaque de métal abais-
ser des verticales sur l’axe horizontal du plan
et dessiner la forme rectangulaire puis la pointe
en ogive et enfin le demi-cercle qui limite l’évi-
dement. Tracer le rectangle qui représente le
plan du manche. On ne peut voir en plan sa
forme incurvée et sa largeur qui reste constante.
Dessiner la coupe.
Echelle de reproduction 50 °/0.
VUE PERSPECTIVE DU FER A REPASSER.
Perspective à vue (vue d’angle).
On marquera sur la ligne de base le point i
qui sera l’angle gauche du fer. De ce point on
mènera des fuyantes à droite et à gauche aux
deux points de fuite.
On détermine la longueur que l’on veut don-
ner au dessin du fer et l'on compare cette lon-
gueur à sa largeur pour fixer celle-ci. Ces deux
points peuvent être portés directement sur les
fuyantes 1. et 2. On peut aussi porter ces me-
sures sur la ligne de base de 1 en 2 et de 1 en 3.
On prendra ensuite le milieu de la longueur 1.2,
ce sera l’axe du fer qu’on obtiendra en menant
par b une fuyante au point de vue. Par les
points 2 et 3 on mènera des fuyantes au point
de vue pour obtenir la longueur et la largeur.
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ASPIRANTS.
UN FER A REPASSER.
Description.
Le fer à repasser se compose essentiellement
d’une plaque de métal (fonte de fer), polie
avec soin et sur laquelle s’adapte un manche qui
affecte différentes formes. La plaque de métal
prend généralement la forme d’un rectangle et
se termine en pointe à la manière d’une ogive ;
elle est plus ou moins épaisse selon la nature
des travaux à exécuter. Cette disposition per-
met d’atteindre les plis des étoffes à repasser ;
de plus cette pointe, en glissant sur le linge,
l’aplanit graduellement en s’élargissant jusqu’à
ce qu’elle atteigne la dimension complète de
l’appareil. On emploie le fer à repasser lorsqu’il
est suffisamment chaud pour
exercer son action de polis-
sage sans brûler le linge. On
sait que les repasseuses asper-
gent d’eau les objets à re-
passeç dans le but de faciliter
l’action du fer.
Il existe des fers à repasser
électriques d’un emploi facile
et avantageux ; leur usage
supprime les foyers à charbon
et les réchauds à gaz et per-
met un travail ininterrompu
et rapide.
Le fer à repasser est muni
d’une poignée qui le surmonte
et se trouve placée à une hau-
teur suffisante pour un manie-
ment sans danger de brûlure.
Cette poignée est parfois en-
veloppée d’un cylindre en
bois ; cet usage se généralise dans les fers élec-
triques qui n’ont rien à craindre des réchaufds.
Dans notre croquis la poignée est formée d’une
lame de fer arrondie, ce qui rend son manie-
ment plus commode.
On remarquera l’évidement (coupe) pratiqué
sur la face supérieure du fer et qui réduit de
moitié environ, son épaisseur.
Manière de dessiner le fer.
ITacer la ligne de terre puis l’axe vertical
AB et dessiner l’élévation. Des points princi-
paux du manche et de la plaque de métal abais-
ser des verticales sur l’axe horizontal du plan
et dessiner la forme rectangulaire puis la pointe
en ogive et enfin le demi-cercle qui limite l’évi-
dement. Tracer le rectangle qui représente le
plan du manche. On ne peut voir en plan sa
forme incurvée et sa largeur qui reste constante.
Dessiner la coupe.
Echelle de reproduction 50 °/0.
VUE PERSPECTIVE DU FER A REPASSER.
Perspective à vue (vue d’angle).
On marquera sur la ligne de base le point i
qui sera l’angle gauche du fer. De ce point on
mènera des fuyantes à droite et à gauche aux
deux points de fuite.
On détermine la longueur que l’on veut don-
ner au dessin du fer et l'on compare cette lon-
gueur à sa largeur pour fixer celle-ci. Ces deux
points peuvent être portés directement sur les
fuyantes 1. et 2. On peut aussi porter ces me-
sures sur la ligne de base de 1 en 2 et de 1 en 3.
On prendra ensuite le milieu de la longueur 1.2,
ce sera l’axe du fer qu’on obtiendra en menant
par b une fuyante au point de vue. Par les
points 2 et 3 on mènera des fuyantes au point
de vue pour obtenir la longueur et la largeur.
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