DOI Heft:
No. 2 (novembre 1927)
DOI Seite / Zitierlink:https://doi.org/10.11588/diglit.43080#0038
On mesure la longueur de la partie rectiligne
du fer jusqu’à la naissance de la courbe, par
comparaison avec la largeur. On porte cette
mesure en 1 a et l’on mène la fuyante au point
de vue. Cette ligne coupe le côté gauche du fer,
en a'.
par des fuyantes au point de vue et au point de
fuite. On porte de A en 9, sur la ligne de base,
la longueur de la partie rectiligne du fer. Par
une fuyante au point de vue on obtient le point
9', naissance de la courbe 9; O".
Aux angles du fer 1.2' c on élève des verti-
cales. Sur la verticale élevée au point 1 on mar-
que l’épaisseur du fer 1. 1'. De U on mène les
fuyantes 1/ 2" et {'a". Au point c on obtient
la hauteur c e soit par comparaison soit en
menant la fuyante d e, axe du fer. On trace en-
suite la forme en ogive de la pointe du fer a"e,
etc., puis la partie courbe dont on
détermine les proportions par compa-
raison avec la longueur a" e'. On mar-
que à droite et à gauche de l’axe, en
d, la largeur du manche ; on élève
des verticales par ces points et on dé-
termine approximativement la hau-
teur de ce manche. Des points 4.5
ainsi obtenus on mène des fuyantes
au point de fuite et l’on dessine le
manche infléchi comme il convient.
Il reste à marquer l’épaisseur de la
paroi de l’évidement et à ombrer. La
lumière vient de gauche à 45° avec la
ligne de terre et avec le plan vertical.
Epaisseur du fer.
Elever des verticales en A b O".
Porter sur A en a l’épaisseur du fer
et mener a b' et a 9" puis tracer la
courbe 9" n. Une fuyante au point de
fuite de droite par 9" donnera en x
la rencontre de la partie courbe et de
h' x.
Evidement.
Porter de A en 5 et 6 de B en y la
largeur de la bordure du fer et tracer
des fuyantes au point de vue. A
l’intersection de ces lignes avec
les côtés du fer élever des verticales jusqu’au
bord supérieur et tracer des fuyantes aux points
de fuite à gauche et à droite. Raccorder ces
lignes avec la courbe en demi-cercle qui limite
l’évidement vers la pointe. Pour trouver le
sommet de cette courbe on en porte le diamètre
de 9 en 10, on mène les fuyantes selon le cro-
Perspective exacte.
quis comme pour les épaisseurs des bords.
Le fer est vu d’angle. On trace la ligne de
base sur laquelle on porte le point A angle du
fer le plus proche. De ce point mener les fuyan-
tes aux points de fuite, à droite et à gauche du
point de vue qui se trouve en face de l’objet.
Porter les longueur et largeur de A en B et en
C, et mener des fuyantes au point de vue ; on
obtient ainsi les dimensions du fer. On a pris
le point o au milieu de A B et obtenu o' puis o"
Manche.
Porter de 10 en 11 la mesure qui sépare le
manche de l’évidement. Porter de O en 1 et 3
la largeur du manche et de A en 8 sa position
sur le fer. Mener les fuyantes au point de vue
et par l’intersection de ces lignes avec les côtés
du fer élever des verticales jusqu’au bord supé-
rieur, de là tracer des fuyantes aux points de
du fer jusqu’à la naissance de la courbe, par
comparaison avec la largeur. On porte cette
mesure en 1 a et l’on mène la fuyante au point
de vue. Cette ligne coupe le côté gauche du fer,
en a'.
par des fuyantes au point de vue et au point de
fuite. On porte de A en 9, sur la ligne de base,
la longueur de la partie rectiligne du fer. Par
une fuyante au point de vue on obtient le point
9', naissance de la courbe 9; O".
Aux angles du fer 1.2' c on élève des verti-
cales. Sur la verticale élevée au point 1 on mar-
que l’épaisseur du fer 1. 1'. De U on mène les
fuyantes 1/ 2" et {'a". Au point c on obtient
la hauteur c e soit par comparaison soit en
menant la fuyante d e, axe du fer. On trace en-
suite la forme en ogive de la pointe du fer a"e,
etc., puis la partie courbe dont on
détermine les proportions par compa-
raison avec la longueur a" e'. On mar-
que à droite et à gauche de l’axe, en
d, la largeur du manche ; on élève
des verticales par ces points et on dé-
termine approximativement la hau-
teur de ce manche. Des points 4.5
ainsi obtenus on mène des fuyantes
au point de fuite et l’on dessine le
manche infléchi comme il convient.
Il reste à marquer l’épaisseur de la
paroi de l’évidement et à ombrer. La
lumière vient de gauche à 45° avec la
ligne de terre et avec le plan vertical.
Epaisseur du fer.
Elever des verticales en A b O".
Porter sur A en a l’épaisseur du fer
et mener a b' et a 9" puis tracer la
courbe 9" n. Une fuyante au point de
fuite de droite par 9" donnera en x
la rencontre de la partie courbe et de
h' x.
Evidement.
Porter de A en 5 et 6 de B en y la
largeur de la bordure du fer et tracer
des fuyantes au point de vue. A
l’intersection de ces lignes avec
les côtés du fer élever des verticales jusqu’au
bord supérieur et tracer des fuyantes aux points
de fuite à gauche et à droite. Raccorder ces
lignes avec la courbe en demi-cercle qui limite
l’évidement vers la pointe. Pour trouver le
sommet de cette courbe on en porte le diamètre
de 9 en 10, on mène les fuyantes selon le cro-
Perspective exacte.
quis comme pour les épaisseurs des bords.
Le fer est vu d’angle. On trace la ligne de
base sur laquelle on porte le point A angle du
fer le plus proche. De ce point mener les fuyan-
tes aux points de fuite, à droite et à gauche du
point de vue qui se trouve en face de l’objet.
Porter les longueur et largeur de A en B et en
C, et mener des fuyantes au point de vue ; on
obtient ainsi les dimensions du fer. On a pris
le point o au milieu de A B et obtenu o' puis o"
Manche.
Porter de 10 en 11 la mesure qui sépare le
manche de l’évidement. Porter de O en 1 et 3
la largeur du manche et de A en 8 sa position
sur le fer. Mener les fuyantes au point de vue
et par l’intersection de ces lignes avec les côtés
du fer élever des verticales jusqu’au bord supé-
rieur, de là tracer des fuyantes aux points de